Concernant Un souvenir, mille remords

« Je viens de lire Un souvenir, mille remords. Votre roman m’a bouleversé. Je savais par mes lectures des choses sur la 2ième guerre mais je ne savais pas ce que vous avez écrit dans ce livre. C’est un chef d’oeuvre et votre style est unique. Merci de tout coeur d’exercer ce métier qui nous procure tant de bonnes lectures. Merci encore. » Hélène Routhier, Gatineau, QC.

« Je viens terminer ‘‘Un souvenir, mille remords’’. Votre livre m’a tellement touchée. Votre écriture est merveilleuse. J’ai vécu l’histoire à travers vos personnages. Merci! » Diane Sauvageau.

« Je m’appelle Marie et je suis cuisinière à la Résidence Mon chez-nous à Saint-Éloi. Je fais lire vos livres aux madames, et vous faites fureur. Objectif personnel: faire lire les monsieurs. Je vous tiens au courant. » Marie-France Rioux

“Une fresque à nulle autre pareille, un tableau saisissant de libération de souvenirs cauchemardesques suites d’une guerre nazie, une retentissante bouffée vers HIER, une épopée brillamment soutenue de bouleversants témoignages d’ici et de France, voilà ce que je ressens après la lecture passionnée de Un souvenir, mille remords, émergé de ta plume puissante et libératrice, dans la lignée magistrale de Robertine Barry et Marie Major pour ne relever que ceux-là. Sergine, toute mon émotion à fleur de peau et ma gratitude pour ce tableau de guerre sorti des boules à mites ! Tout au long de ce récit, je me suis imaginée tantôt Rose et Dorothée, tantôt Kalinda Z 7400 et Sandrine, et plusieurs autres tels Onésime et Bérangère, Ariel et Inge, pour ne nommer que ceux-là. Ce retour après 29 ans devrait permettre une réhabilitation “nationale” autant au Québec qu’à Paris. Qu’on le veuille ou pas, les souvenirs d’une telle guerre ne se répercutent pas seulement sur les premiers blessés…des images parlent jusqu’à nous en 2021 ! C’est Sandrine qui est mon écho ! Sergine, tu me combles par tes écrits judicieux, ta plume alerte et juste, tes récits qui m’emportent au-delà de mon siècle et de mon pays ! Merci. » Irène Belleau.

« Je suis subjuguée par cette histoire ! Et quelle belle plume ! Dès la première page l’envoutement est au rendez-vous. J’aime finalement que les chapitres soient courts et nous plongent dans les contrastes alternés du suivant. C’est génial! Ce roman est ton meilleur! Captivant des premières lignes jusqu’à la fin, j’ai tellement aimé ces chapitres courts, bien construits, qui alternent entre Ste-Flavie et Paris. Vite on a le goût de suivre ces femmes dont les cheminements divers s’entrecroisent dans les difficultés, certes, mais sont d’une réalité à jamais oublier. La bonté triomphe sur les laideurs. Tu nous laisses de l’espoir. Merci d’avoir travaillé très fort pour nous livrer cette œuvre mémorielle. Tu as raison d’être fière! Un talent ne tombe pas du ciel! C’est la somme d’un travail, de détermination et de discipline. Félicitations. J’ai dévoré. « C’est un incontournable cadeau de Noël pour qui aime les vraies choses de la vie passée, mais tellement actuelles encore. Ne pas lire ce livre, c’est comme oublier qu’on a un trésor légué par les femmes avant nous! ». » Madeleine Gagnon. Commentaires sur ma page Facebook, 13, 24 octobre et 5 novembre 2021.

« Un des meilleurs romans que j’ai lus. » Denise Groleau. Commentaire sur ma page Facebook, 24 octobre 2021.

« J’ai commencé ton livre et je suis dedans jusqu’aux dents, tellement c’est bon. Bravo à une extraordinaire écrivaine. » Anne St-Denis. Commentaire sur ma page Facebook, 24 octobre 2021.

« J’ai adoré, comme d’habitude, toujours intéressant et captivant. » Claire Bernier. Commentaire sur ma page Facebook, 23 octobre 2021.

« J’ai commencé la lecture de ton nouveau roman. Je suis accroché, pas capable de le laisser. Je suis emporté par l’histoire. Merci de me permettre d’avoir accès à ton imaginaire comme tu sais si bien le faire. Je continue ma lecture. » Quelques jours plus tard : « J’ai adoré ton nouveau roman. Tu nous transportes dans un monde où tu nous informes sur l’histoire en nous faisant vivre au gré de ta plume, l’espoir d’un monde meilleur par l’entraide entre humains. Merci encore pour cette belle histoire d’espoir. » Francis Desjardins (sans lien de parenté). Commentaires sur ma page Facebook, 17 et 21 octobre 2021.

« À l’évidence de très sérieuses recherches historiques ont été effectuées avec succès. En tant que vétéran, j’ai grandement apprécié le fait que vous fassiez référence au devoir de mémoire, dans un roman de nature historique. Ce que vous mentionnez par la voie du personnage de Gratien se rapproche de la réalité de nombre d’entre nous, vétérans affectés par un choc post-traumatique. Bien qu’il m’ait été difficile de lire les atrocités que les Nazis ont fait subir à un nombre encore inconnu de gens, il ne fait malheureusement aucun doute que la nature humaine n’a rien appris de ces horreurs : Bosnie, Rwanda, Aghanistan… J’ai également apprécié le rappel historique de la situation féminine de cette époque, il en reste encore à faire beaucoup quand on s’aperçoit des féminicides à répétition. Toutes mes félicitations pour votre œuvre, puisse-t-elle connaître un vif succès quant au nombre de lecteurs pouvant s’intéresser à cette partie de notre histoire militaire régionale qui s’est déroulée à Mont-Joli. » Capt (Ret.) J.E.J. et Notaire honoraire, Jacques Bouchard.

« Chère Sergine, je viens de terminer votre beau roman historique et je vous félicite car j’ai tout simplement adoré vos personnages tellement attachants en plus d’en apprendre beaucoup plus sur ce conflit mondial. Je vous ai connue grâce à Marie Major et j’aime la façon que vous avez de décrire les époques tout en nous éduquant. Votre talent gagne à être connu. Vous travaillez tellement fort à faire toutes ces recherches ! Félicitations et mille fois merci ! Carole Quintal. Commentaire sur ma page Facebook le 29-10-2021.

« Je suis en pleine lecture de ce merveilleux roman.» Renée St-Pierre, sur ma page Facebook, 24 octobre 2021.

« Un souvenir, mille remords, de Sergine Desjardins. Une magnifique fresque historique. » Patricia Labonté, sur ma page Facebook, 24 octobre 2021.

« J’ai terminé de le lire… J’ai déjà hâte au prochain. Si un jour, tu offres des ateliers d’écriture, je m’inscris. Il y a un travail de recherche et d’écriture phénoménal derrière chaque livre que vous écrivez. Vous avez toute mon admiration. » Mélanie Boisvert-Bédard, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« Je suis en train de le lire. Merveilleux. » Tony Desjardins, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« C’est toujours un grand plaisir de te lire. » Nicole Côté, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« Je suis rendue au dernier chapitre… Merveilleux à lire… » Francine Plourde, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« Assez intense. Merci. J’ai aimé l’histoire de Kalinda. Tout est relié : l’espoir et le désespoir; l’art et la désespérance! Bravo! » Louise Brosseau, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« Super roman. Je viens d’en finir la lecture. J’adore les petites phrases pour aider à la résistance. Merci pour ce magnifique roman. » Émilie Tessier, commentaire sur ma page Facebook, 28 octobre 2021.

« Bonjour, je viens de terminer votre roman que j’ai adoré et que je recommande fortement. J’aime beaucoup les romans historiques et celui-ci m’a beaucoup émue. Merci pour ces belles heures passées avec des personnages de cœur. » France Desautels.

« Beaucoup aimé ma lecture.» France Lorrain, auteure, commentaire sur ma page Facebook, 6-11-1021.

« Ce roman est vraiment bon. » Ève-Mie Charbo, commentaire sur ma page Facebook, 5-11-2021.

« Je l’ai acheté et adoré. » Hélène Deschenes, commentaire sur ma page Facebook, 5-11-2021.

« Je comprends que l’éditeur réimprime déjà, c’est une grande œuvre, bien documenté et ficelé avec beaucoup d’imagination. Le rythme est soutenu. J’ai été happé dès le début et j’ai de la peine parce que j’ai déjà terminé ma lecture. J’aurais voulu que ça continue tant et tant. Merci pour ce beau cadeau et pour l’énorme travail que tu as effectué pour donner vie à tous tes personnages si forts et si riches à la fois. Je vais m’ennuyer d’eux. Bravo Sergine. Te lire est un pur bonheur. » Christiane Caron, commentaire sur ma page Facebook, 5-11-2021 et ensuite message privé publié ici avec son autorisation.

« Wow, je viens de terminer de le lire et j’ai ADORÉ. Du début à la fin, pas capable d’arrêter de lire en 5 jours et voilà, déjà terminé. Merci, j’ai appris des choses et je le recommande à tous. Très bon livre. Félicitation Sergine. » France Pelletier, commentaire sur ma page Facebook, 5-11-2021.

« Quelle bonne nouvelle ! (à propos de la réimpression un mois après la parution). Je t’admire d’avoir été capable d’écrire des choses aussi terribles et d’y avoir insufflé autant d’humanité. Pour utiliser un cliché : j’ai dévoré cette histoire. C’est captivant, touchant, lumineux… Un gros bravo! » Élise Bourque, commentaire sur ma page Facebook, 7 novembre 2021.

« Bonjour chère écrivaine. Bravo pour les succès … un second tirage! Un succès bien mérité si j’en juge à partir de ma propre lecture. De chapitre en chapitre, je vais au fil de l’Histoire sur 2 continents. Y a des bouts qui me rappellent des souvenirs personnels, d’autres qui me semblent empruntés à la vie de l’auteure elle-même, tout le reste à la Grande histoire bien incarnée par la galerie des personnages mis en scène. Du bonbon. Selon moi, tu t’es surpassée. Bravo.» Louis Belzile.

« Très très bon.» Odette Desrosiers, commentaire sur la page Facebook Auteurs québécois et franco-québécois, 9-11-2021.

« À lire du début à la fin… intéressant et captivant.» Francine Plourde, commentaire sur ma page Facebook, 11-11-2021

« J’ai adoré. Ce livre est fascinant. » Diane Guénette, commentaire sur ma page Facebook, 15-11-2021.

« Que d’émotions à la lecture de Un souvenir, mille remords. Merci Sergine de m’avoir fait vivre cette époque à travers des personnages réels et imaginaires. Personnages à travers lesquels j’ai vécu tant d’inquiétude, car je m’étais attaché à eux. Leur résilience m’a permis de leur faire confiance. Ils m’ont permis de connaitre l’histoire de cette guerre avec différents regards… différentes valeurs telles que la haine, la bonté, le désespoir, l’espérance, etc… Merci de m’avoir permis d’apprendre comment cette guerre a façonné l’histoire et ses occupants. » Sylvie Desjardins, commentaire sur ma page Facebook, 17 novembre 2021.

« Je l’ai lu et beaucoup aimé. » Diane Poirier. Commentaire sur la page Facebook de Raynald Horth, 12 novembre 2021.

« Je viens de terminer la lecture de Un souvenir, mille remords. J’avais de la difficulté à m’arrêter tellement je l’ai trouvé captivant. J’ai pleuré de voir tout ce que ces Juifs ont dû souffrir, de voir aussi toutes les amitiés sincères qui se sont développées, de voir la bonté et la résilience de ces personnes. Bravo pour cette belle histoire d’amour. J’avais lu L’île de l’ermite et L’île des exclus que j’ai aussi bien aimé. Merci pour ces belles heures que j’ai passé à vous lire. Lâchez Pas. » Louisette Fouquet, commentaire sur ma page Facebook, 26-11-2021.

« Je viens de finir votre roman Un souvenir, mille remords. J’ai adoré. » France Bernier.

« C’est ma lecture du moment : du bonheur à l’état pur. Merci Sergine pour ces beaux moments. » Marlene Carrier, commentaire sur ma page Facebook, 04-12-2021.

« Allô Sergine. Je viens de terminer la lecture de ton roman. Je comprends pourquoi tu as du succès avec ce livre, tellement beau, un récit historique romancé que j’ai adoré malgré des passages durs. Tu es géniale pour écrire une histoire comme celle-là. J’espère que tu auras un prix car tu le mérites. Merci encore. » Murielle Proulx.

« En lisant ce passage, je n’avais pas fait le lien avec cette tour que je connais bien pourtant… Merci ! Je vais terminer ton roman bientôt. Il ne me reste que quelques pages à lire, j’ai ralenti mon rythme afin d’en profiter plus longtemps. » Louise Hamel, commentaire sur ma page Facebook du 08-12-2021 où j’avais affiché les tours de guet de Sainte-Flavie dont je parle dans mon roman.

« Nous avons un riche patrimoine et nous ne le connaissons hélas que très peu! Merci de nous l’apprendre Sergine. Quel beau, sensible et fort intéressant roman, bien écrit, qui, à travers des personnages attachants, nous plonge au cœur même de la Seconde guerre. » Rollande Lambert, commentaire sur ma page Facebook du 08-12-2021 où j’avais affiché les tours de guet de Sainte-Flavie dont je parle dans mon roman.

« Bonjour Sergine. J’ai dévoré Un souvenir, mille remords. Dès le début, du fait que mon beau-frère fut formé comme fusilier de tourelle (turret gunner) à Mont-Joli, je n’ai pu déposer ton chef-d’œuvre ! Et puis, tu as si bien traité l’Holocauste, un sujet important pour moi. Finalement, tu as tellement bien tricoté Sainte-Flavie/Auschwitz… NEC PLUS ULTRA. » Pierre Fortin, 08-12-2021.

« Je suis née à Mont-Joli en 1949. Je viens de dévorer votre petit dernier Un souvenir, mille remords. Merci pour ce magnifique plongeon dans la vie et les coutumes de nos parents et grands-parents durant la guerre 39-45. À l’époque, ma mère a travaillé comme cuisinière au Restaurant de la Gare à Mont-Joli où toute l’équipe accueillait généreusement les jeunes soldats qui descendaient du train pour un lunch rapide. Vos sensibles descriptions aliment à ravir les histoires que ma mère me racontait. Que le Meilleur pour vous! Merci de nous partager votre talent exceptionnel. » Lise Roy, commentaire sur ma page Facebook, 9-12-2021.

« Bonjour Sergine, je vous fais un bref rappel. Nous nous sommes rencontrées à une ou deux reprises lors de conférences que vous avez données au Vieux Presbytère sur entre autres votre amie Robertine. Je viens de terminer votre dernier ouvrage. C’est une œuvre magistrale, très fouillée et très bien écrite. J’ai été bouleversée au plus haut point. Vos références, votre finesse, votre sensibilité, tous ces aspects en font un livre très important. J’ai été sensibilisée aux affres de la guerre par un très grand ami de la famille qui a été le seul survivant lorsque leur avion a été abattu. Lorsque j’étais à Sainte-Flavie, au Regroupement culturel, je me suis grandement intéressée à la 9ième EBT. Et je tiens à vous dire que toute la question du “silence” a été très souvent évoquée par les visiteurs lors de l’exposition à la grange à dîme. Les gens parlaient de leurs oncles, leurs cousins, etc qui avaient fait la guerre mais “n’en parlaient jamais”. Je fais partie d’un organisme Patrimoine Militaire de la Mitis, dont le président est François Dornier. Nous travaillons à mettre en place un projet pour la mise en valeur de l’École, ce en complément à ce qui est déjà présent à la grange à dîme. En résumé, votre livre m’a habité toute la semaine et m’a fait vivre beaucoup d’émotions. Bien sûr, tout ce qui se passe dans la région, l’École, Sainte-Flavie, les tours de guet, la mer et même les statues du Centre d’Art font écho pour moi. Toutes mes félicitations. Je lisais et je me disais que de travail elle a dû faire pour arriver à pondre ce magnifique roman historique. Et je sais fort bien, que vous travaillez rigoureusement au niveau des données historiques. Vraiment, Sergine, un très grand Bravo à vous. » Rose-Marie Gallagher, commentaire sur ma page Facebook, 9-12-2021.

« Merci d’avoir écrit ce livre. J’ai presque tous les livres que vous avez écrits. Ils me font du bien et j’adore vous lire. Félicitations pour votre excellent travail. Ce que vous apportez de réconfortant à la société mérite d’être souligné. Passez de joyeuses fêtes avec ceux qui vous sont chers et au plaisir de vous lire encore une fois. » Laurent Bérubé, Rimouski.

« J’ai adoré ce livre. 10 sur 10. » Diane Guénette, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 15 novembre 2021.

« Très bon livre. Je viens de le terminer. Excellent.» Francine Despatie, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire, 30 novembre 2021.

« Je viens tout juste de terminer Un souvenir, mille remords, et c’est ce que j’ai lu de plus beau de toute ma vie. Merci.» Lise Girard

« J’ai terminé de lire ton dernier roman il y a quelques semaines et il m’habite encore. J’ai vraiment beaucoup apprécié. Encore une fois merci.» Marlene Carrier, commentaire sur ma page Facebook, 1er janvier 2022.

« Je viens de le terminer… vraiment aimé. On apprend pas mal de choses dans ce roman historique.» Louise Thibeault, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« J’ai adoré. » France Bernier, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« Je viens de terminer ce merveilleux roman écrit par Sergine Desjardins. Une partie se passe à Sainte-Flavie et l’autre dans les camps de concentration pendant la guerre. 500 pages de pur bonheur. À lire si vous aimez les romans historiques. » Odette Desrosiers, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 14 novembre 2021.

« Je viens de le terminer, excellent lecture ! » Noëlla Dufour, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« Très bon roman. » Sylvie Lauzier, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« C’est un très bon roman historique, j’ai adoré ! » Ghislaine Desrosiers Dubé, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« Oh oui très bon !!!!! Une autre belle découverte. Je ne connaissais pas cette auteure. Je vais le terminer sûrement aujourd’hui. » Cécile Nadon, sur la page Facebook Pour ceux qui aiment lire. 1er janvier 2021.

« J’ai pleuré, j’ai été révoltée, j’ai aimé, j’ai entré dans l’histoire tellement c’est bien écrit. Le soir, avant de dormir, je prends 1 heure pour la lecture, mais là parfois ça faisait 2 et 3 heures… je travaille le lendemain, incapable de fermer le livre, je voulais en savoir plus. Vraiment un chef d’œuvre contenant toutes les émotions rassemblées. Toujours excellent. Merci Sergine. Je suis impatiente de livre votre prochain. » Guylaine Guérette, sur ma page Facebook, le 27 décembre 2021.

« Un autre article (dans le Journal de Montréal) qui donne le goût de lire ton dernier roman ! Il ne saurait en être autrement ! Tous tes écrits sont toujours fouillés et travaillés avec minutie. Ils savent nous transporter dans des retranchements historiques nous conduisant au cœur d’événements souvent pas ou peu connus. Ici, la Seconde Guerre nous ouvre ses portes à travers le parcours de trois jeunes femmes en passant par Ste-Flavie, la France et Auschwitz. La description de la vie dans les camps de concentration ne peut laisser indifférent ! Bravo mon amie pour ce travail de recherche et d’écriture. Ton roman mérite tous les éloges! » Rollande Lambert, commentaire sur ma page Facebook, le 08-01-2022.

« Sergine, j’ai terminé ton merveilleux roman, une très belle histoire incroyable. Je plongeais dans ton livre le soir avant d’aller dormir en ayant hâte de retrouver tes personnages qui sont devenus les miens. Quel travail de titan pour une recherche très fouillée. Bravo à toi Sergine. » Anne St-Denis, commentaire sur ma page Facebook, le 11-01-2022.

« Quelle belle histoire! Moi qui vis à Saint-Flavie, je vois le scénario presqu’au coin de ma rue à 3 minutes de l’aéroport de Mont-Joli. Vraiment, ce livre est digne d’un film historique sur grand écran ! Bravo et merci pour cette belle lecture. » Danielle Jean, commentaire sur ma page Facebook, le 11-01-2022.

« Excellent roman historique, très bien documentée comme sait si bien le faire Sergine Desjardins. La mise en scène de la 9e École de bombardement et de tir de Mont-Joli est fort intéressante et nous rappelle un pan de notre histoire. Les accents mis sur le vécu des femmes en camp de concentration sont saisissants, presqu’incroyables mais bien vrais. En résumé, une œuvre magistrale selon moi. Merci Sergine pour ce rappel de l’histoire, si cruelle soit-elle. Tout à votre honneur d’avoir fait ce travail colossal! » Rose-Marie Gallagher, sur la page Facebook de la Bibliothèque Olivar-Asselin, 13 janvier 2022.

« J’ai acheté votre livre et pour tout vous dire, je ne l’ai pas lu. Je l’ai dévoré. Je ne me considère pas comme un lecteur assidu, mais ma passion pour la généalogie et l’histoire m’a incité à me procurer ce précieux livre. Un merci immense. J’ai un seul regret. Je l’ai lu trop rapidement. Mais il m’appartient et j’aurai l’occasion de le relire à nouveau après un certain temps. Encore merci. » Gabriel Morissette, commentaire sur ma page Facebook, 8 janvier 2022.

« C’est avec une immense joie que vous m’avez fait voyager de Ste-Flavie à Paris en passant par Québec et ces damnés camps de la mort en Pologne. Quels personnages attachants, vous avez créés. On les voudrait tous et toutes comme ami.e.s, excepté Onémise bien sûr. Quel travail de recherche extraordinaire vous avez dû faire pour citer toutes ces personnes réelles qui ont vécu cet enfer. Je souhaite à tout le monde le moindrement passionné de lecture d’avoir le plaisir de lire ce livre. Merci beaucoup Mme Desjardins pour la semaine et demie que vous m’avez fait passer. » Paul-Aimé Leblanc.

« J’ai adoré. » Hélène Grothe, commentaire sur ma page Facebook, 18 janvier 2022.

« Très bon roman. Je le recommande. » Josée Pelletier, commentaire sur ma page Facebook, 18 janvier 2022.

« J’ai pris du recul avant de te parler de ton dernier roman. Non pas que j’aie des critiques à formuler, au contraire! Encore une fois, un de tes romans est venu remuer en moi des émotions qui m’ont surpris… Je n’ai jamais vécu ce que tu fais vivre à tes personnages. Mes parents m’ont entouré d’amour et aucune saga familiale ne pourrait m’inspirer des récits comme ceux que tu couches sur le papier. Mon père a bien fait l’entraînement militaire, mais la guerre s’est terminée avant son départ. Et, de toutes façons, c’était avant ma naissance. Évidemment, je n’ai jamais vécu un enfer comme celui des camps de concentration allemands! Bref, rien dans mon vécu n’aurait pu expliquer les sentiments de colère et de tristesse que ton livre a suscité en moi! Le génie de l’écrivaine sans doute!

Toujours est-il que, tout comme avec Le châtiment de Clara, ton dernier roman m’a beaucoup affecté. Je me souviens que lorsque j’ai lu Bonheur d’occasion, la tristesse et la colère m’avaient envahies. Tristesse devant la « petite vie » et colère devant l’injustice de la vie. Germinal avait exacerbé ces sentiments qui sont sans doute à la base d’une bonne partie de mon militantisme social… Un souvenir, mille remords a soulevé en moi une telle colère. Envers l’inhumanité, qu’elle soit individuelle comme celle du père de Rose ou institutionnalisée comme avec ces « camps de travail » (!)… J’ai visité un de ces camps en Allemagne et je ressens encore cette émotion, mélange de profonde tristesse, de colère, d’incompréhension, de compassion… Bref, je tenais à te dire qu’encore une fois ton livre m’a touché profondément! Je le digère encore, plusieurs semaines après l’avoir terminé… Je souhaite que tu poursuives encore longtemps ton travail d’écriture, de recherchiste et d’historienne car cette mémoire de la « petite vie » et des «misères» de l’humanité se doit d’être racontée! Merci pour ton travail! » Louis Roy.

« Les mots sont difficiles à trouver pour te dire à quel point j’ai adoré Un souvenir, mille remords. Les personnages que tu as inventés sont tellement attachants… Et lorsque tu parles des sous-marins allemands, je revivais les histoires que maman nous racontait : elle disait qu’il ne fallait pas allumer les lampes à l’huile, le soir, etc… Eh oui, elle a vécu cette époque; mais jamais elle ne nous a parlé de l’école de tir si près de chez-nous, ni papa… Quand tu parles de ceux qui avaient honte, cela m’a rappelé lorsqu’elle parlait de son oncle Norbert, quand celui-ci est revenu de cette guerre et s’est mis à boire et sans jamais parler un mot de ce qu’il a vécu… Encore une fois, en terminant ton œuvre, c’est comme si j’avais quitté un ami précieux… Ce roman me fut très enrichissant, comme tous les autres d’ailleurs. Félicitation. On t’aime. » Hélène Fortin, commentaire sur ma page Facebook, le 23 janvier 2022.

« J’ai fini de lire ton dernier roman. Quel bonheur de lecture encore une fois, avec ton habileté à glisser l’Histoire en filigrane d’une histoire passionnante. J’ai lu les camps avec l’impression d’y être. Bravo pour cet opus magnifique, aux personnages qu’on n’oublie pas de sitôt. J’aime vraiment beaucoup ce que tu fais. » Anne-Marie Desbiens, auteure.

« Je viens de terminer Un souvenir, mille remords » de Sergine Desjardins et je vous le suggère fortement. Tout comme dans son roman Marie Major, l’auteure sait nous faire vibrer au plus profond de nous, entre autres sur la condition des femmes à l’époque de la deuxième guerre mondiale. Les personnages ayant réellement existés, qui s’ajoutent habilement aux personnages principaux rendent cette histoire encore plus intéressante. » Murielle Losier Michaud, commentaire sur la page Facebook Que lisez-vous, 28 janvier 2022.

« J’ai adoré ton plus récent roman. Je suis encore habitée par ces personnages qui témoignent profondément de l’humain avec tendresse et rigueur. J’ai été captivée jusqu’à la dernière ligne par ces histoires, par la force de ces hommes et ces femmes. Merci pour ces beaux moments. J’espère que tu vas bien et que tu nous prépares un nouveau roman. » Lyse Bonenfant.

« Bonjour Sergine. J’ai terminé ton roman ce matin. Quel ravissement! Deux jeunes filles qui ont tout perdu et qui se reconstruisent une belle vie malgré les souffrances qui ont jalonné leur jeune vie. Tu dis avoir eu des moments de synchronicité en écrivant, moi aussi en le lisant. En janvier, j’ai lu le livre de Victor Frankl qui parle de sa vie dans les camps. Tu as écrit une histoire que je trouve magnifiquement bien ciselée. C’est un livre difficile à lâcher une fois qu’on y a plongé. Bref, BRAVO ma chère Sergine. J’ai passé un très bon moment de lecture. » Carmen Belzile, autrice.

« Bonjour Madame. Je viens tout juste de terminer Un souvenir, mille remords. Je suis encore sous le choc. Vraiment entre l’ombre et la lumière. J’ai ADORÉ. Merci de tout cœur. » Danielle Deschamps.

« Sergine ! Comme ton roman mérite tous ces commentaires élogieux. Ta plume sait nous guider dans la grande histoire tout comme dans la petite. De plus, avec beaucoup de perspicacité, elle s’immisce dans le cœur des personnages ! On s’attache souvent à plusieurs d’entre eux, on en déteste aussi quelques-uns… À lire et à relire, tant Un souvenir, mille remords, recèle d’informations. J’ai hâte au prochain. » Rollande Lambert, commentaire sur ma page Facebook, 6 février 2022.

« J’ai lu ce livre avec émotion, j’en aurais lu encore des heures et des heures tellement c’est bien écrit et avec beaucoup de recherches. Merci à Dieu de t’avoir donné ce talent et d’en faire profiter les autres. Continue ton beau travail. » Murielle Normand, commentaire sur ma page Facebook, 8 février 2022.

« Bonjour. Quelle brique de renseignements au sujet de la guerre 1939-1945. Bien entendu j’en connaissais des bribes mais j’en ai découvert l’horreur un peu plus dans votre magnifique livre. Merci de nous forcer à replonger dans ce carnage insensé que fut cette guerre (comme tant d’autres d’ailleurs). Je vais me procurer vos autres livres car j’adore l’histoire. Meilleures salutations. » Cécile Hubert, Acadienne des îles de la Madeleine

« Bonjour Mme Desjardins. Je me promets de lire tous vos livres. Je vous ai découvert avec la lecture de : Un souvenir, mille remords. Étant native de Mont Joli et pendant mon enfance mes grands-parents avaient un chalet à Ste Flavie. Je descends régulièrement dans le bas du fleuve, et la vue de notre magnifique fleuve st Laurent m’arrache souvent une larme. Grâce à votre livre, j’ai appris qu’il y avait une école de tir à Mont Joli et maintenant je connais l’histoire des deux tours le long du fleuve aux alentours de Ste Flavie. Mon père ne m’avait pas transmis ses connaissances du début de la deuxième guerre mondiale. En fin de semaine, j’ai également su par mon cousin où était situé l’arsenal à Mont Joli. J’aime lire des romans historiques car j’apprends. Merci beaucoup. Je vous souhaite de la santé et du bonheur tout au long de votre vie » Louise Lévesque.

« J’ai adoré votre livre. J’aime beaucoup vous lire. » Hélène Grothe.

« Chacune de tes livres nous apporte du bonheur. » France Canuel.

« Je viens de terminer la lecture de ce merveilleux roman. J’adore. » Diane Leclerc, commentaire sur ma page Facebook, 21-02-2022.

« J’en recommande fortement la lecture. Je l’ai terminé avec émotions. » Jocelyne Bradley, commentaire sur ma page Facebook, 21-02-2022.

« Quel merveilleux roman !!! qui m’a permit de découvrir des aspects méconnus de cette guerre. Bravo. » Ginette Rompré, commentaire sur ma page Facebook, 27-01-2022.

« Je viens de passer une semaine avec vous et Un souvenir, mille remords. La vie nous offre de tellement bons moments parfois. Merci pour tant de bons mots! » Marie-France Rioux.

« Je ne le lis pas, je le dévore. Bravo madame » Danièle Noël.

« Bonjour Sergine. J’ai lu Un souvenir, mille remords. Oh mon Dieu que j’ai adoré ce livre du début à la fin. Tu as une façon d’écrire que j’adore et aussi tu étais bien documenté au niveau historique. J’ai eu de la peine, de la frustration et pleins de débats dans ma tête pour cette période de l’histoire qui est assez cruelle. C’est juste Wow. J’en perds mes mots. Merci infiniment pour cette belle histoire. Je voulais te dire aussi que j’ai noté ton livre 5 étoiles sur Goodreads. Je te souhaite de continuer à écrire le plus longtemps possible. Je serai au rendez-vous comme lectrice. » Isabelle Parent.

« Bon matin à vous. J’ai terminé Un secret, mille remords. Oh boy, j’ai adoré. Vraiment. Malgré la tristesse de ces gens dans les camps de concentration et toutes ces atrocités. Un passage qui m’a interpellée, c’est lorsque vous parlez de la Crèche St-Vincent-de-Paul à Québec où mes parents ont adopté, il y a 55 ans, le frère et la sœur alors âgés de 3 mois et de 2 ans. Ce qui est remarquable, c’est que nous étions déjà 7 enfants à la maison. Leur mère n’a jamais voulu les rencontrer. Chez-nous, ils ont été gâtés. Merci beaucoup pour cette magnifique histoire, triste mais vraie. » Francine Lessard.

J’adore recevoir des messages de mes lecteurs et lectrices. Voici le plus récent, d’une Parisienne devenue récemment une fidèle lectrice. En fait, c’est en attendant le train qu’elle a trouvé mon roman Marie Major à la gare. Depuis, elle continue de me lire, pour mon plus grand bonheur : « Bonsoir Sergine. J’ai terminé la lecture de votre dernier roman, Un souvenir, mille remords. Vous dites que vous écrivez pour être lue, mais c’est un tel plaisir de dévorer vos romans. J’ai adoré dès le début, alterner de chaque côté de l’Atlantique avec des petits chapitres. Et chaque chapitre terminé, j’étais poussée à continuer ma lecture tellement j’avais hâte de connaître le ou les liens qui pouvaient réunir les personnages. Grâce à votre magnifique plume, je me mets à la place des héroïnes de vos romans. Mais vous avez également le talent de nous apprendre des choses et également celui de faire passer des petits messages sur la vie des femmes. Alors c’est moi qui vous remercie d’avoir pu lire un tel roman. » Régine Sivy.

« Bonjour madame Desjardins. Je termine à l’instant votre roman « Un souvenir, mille remords ». J’ai passé de belles heures, plongée dans ce monde qui semble tristement refaire surface de nos jours. Je tenais à vous remercier du message subtil, mais combien important et actuel, de tolérance et de bienveillance envers autrui. L’histoire se réécrit sans cesse et comme le dit si bien Kalinda, l’une de vos personnages : « Il n’y a que ceux qui ne retirent aucun enseignement de leurs erreurs qui peuvent vraiment avoir des remords. » Espérons… Je m’applique dans les jours à venir à me procurer d’autres de vos ouvrages. Mon gendre Carl Desjardins m’a offert Marie Major il y a quelque temps et j’ai ainsi pu vous découvrir avec plaisir. » Chantal Lisa Boivin.

« J’ai tellement aimé Un souvenir, mille remords que j’en ai fait la promotion au club de lecture auquel je participe tout comme à mes proches. J’en ai aussi dit grand bien au personnel de la Librairie Fleury que je fréquente. J’ai hâte de livre votre prochaine histoire. Merci de nous faire vivre des histoires aussi marquantes. » Jocelyne Bradley, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« Je lis présentement votre dernier roman Un souvenir, mille remords. Je devrais dire dévore. 500 pages qui seront trop vite traversées. J’adore votre écriture. » Nicole Duperron, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« J’ai terminé ce roman il y a deux jours. Je ressens toujours une tristesse lorsque je termine tes romans parce que je m’attache aux personnages et c’est une coupure avec eux, comme s’ils étaient mes amis. J’ai eu la même réaction avec Robertine et Isa. Merci de nous faire connaître autant sur l’histoire de notre coin de pays, le Bas-St-Laurent et le Québec. Je vais commencer Isa, l’île de l’ermite dans quelques jours. Passe une belle journée Sergine. » Marie-Chantal Leblanc, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« Je suis en train de lire Un souvenir, mille remords et je dois admettre que je suis accroc à ce livre. Très hâte de continuer. Merci! » Lionel Arsenault, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« Moi, Sergine, je suis une heureuse matanaise qui a lut tout ce que tu as publié, et je suis fière de toi. Merci pour tous les bons moments que m’ont fait vivre tes romans. Continue d’écrire, je vais continuer de te lire. » Jeanne Côté, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« J’ai grandement apprécié l’écriture et le sujet. » Danièle Noël, commentaire sur ma page Facebook 4-04-2022.

« Merci pour cette œuvre. Je viens de vous découvrir et vous embellissez ma vie.» Hélène-Lise Trudeau, 11-06-2022.

« J’ai eu plaisir à connaître Robertine Barry, je me souviendrai longtemps de Clara, j’ai aimé Rose, Dorothée et Kalinda. Je tourne les premières pages de Isa. Me restera à côtoyer Marie Major… Merci, c’est un honneur de lire vos femmes!» Marie-France Rioux.

« Je viens de finir la lecture de votre dernier-né : Un souvenir, mille remords. Merci beaucoup pour toutes ces pages sur la guerre mais surtout sur l’amitié, l’entraide, la bonté, l’art et la résilience. À chaque roman, j’ai hâte de continuer à lire ! Je suis une vraie fan !!! Merci de nous permettre de vivre de si bons moments !!!!» Diane Milette, commentaire sur ma page Facebook, le 24 juin 2022.

« J’ai beaucoup aimé Un souvenir, mille remords. J’attends le prochain avec impatience.» Hélène Houle.

« Bonjour, Je viens de terminer la lecture de votre roman Un souvenir, mille remords. Je vous remercie pour ce magnifique roman, rempli de douleurs, mais entouré d’espoir, de résilience, de tendresse et la nécessité de se donner du support les uns les autres dans nos moments de vulnérabilité, de souffrances. J’ai adoré ce livre. Je n’étais pas une lectrice, mais présente avec vos personnages, tellement c’est bien écrit. Heureuse de l’avoir lu, j’ai été touché tout au long.» Lyse Lavoie. Commentaire sur ma page Facebook, 11 juillet 2022.

« Je suis fan de votre écriture. Marie Major, j’ai adoré. Tous les autres également.» Madone Langlois.

« Je viens de terminer la lecture de votre roman Un souvenir, mille remords que j’ai lu avec grand intérêt. Je vous félicite pour ce roman historique et féministe. J’ai beaucoup apprécié votre style d’écriture. Votre conclusion nous offre l’espoir.» Françoise Kreussler.

« Chère Sergine. Je viens de terminer la lecture de Un souvenir, mille remords. Merci, ce fut pour moi une expérience de découvrir toute l’horreur de la guerre, des camps et toutes les souffrances de ces hommes, femmes et enfants. L’histoire de ces femmes, ces héroïnes qui ont parcouru un chemin plein d’embûches qui étaient omniprésentes. Cette bataille est présente encore, nous ne devons pas baisser les bras pour les générations à venir. Merci Sergine, pour ton amour de l’histoire, de tes mots qui nous transportent au temps décrit. J’ai aimé Un souvenir… comme tous tes autres romans.» Maud Desjardins.

« Bonjour Mme Desjardins. Je viens de terminer votre merveilleux roman Un souvenir, mille remords. Suite à une épreuve de la vie j’avais perdu le goût de la lecture car incapable de me concentrer. Comment vous dire ma reconnaissance que votre roman m’a permis de renouer avec ce plaisir extraordinaire. Le propos de votre roman est éducatif, instructif il touche autant le cœur que l’esprit. Mille mercis. » Suzanne Bernatchez

« Je viens de terminer votre livre UN SOUVENIR, MILLE REMORDS. La première partie est difficile, j’en suis encore bouleversée, la deuxième partie, le retour, nous fait réfléchir à la chance que nous avons. Bravo pour cette belle histoire qui nous touche.» Carole Lussier.

« Bonjour, je viens de terminer la lecture de ce livre qui est un chef-d’œuvre. Vous m’avez fait voyager dans l’horreur qu’était la guerre, les nazis et l’holocauste. Félicitation pour votre belle écriture et au plaisir de dévorer un autre de vos livres.» Yves S. Marseille

« Bon matin, ma très chère autrice. J’ai tellement aimé vous lire ! J’aime aussi France Lorrain et plusieurs bonnes autres autrices québécoises : notamment Claire Bergeron et Suzanne Aubry qui sont du même calibre que vous ! J’ai travaillé à Ottawa dans une librairie durant 25 ans et l’on me demande souvent quels auteurs je recommande. Je ne vous oublie jamais, parmi mes autrices préférées. Dans mon petit village, nous avons un club de lecture à la bibliothèque municipale, je vais suggérer votre nom afin que d’autres personnes vous lisent. Et vous aiment autant que moi !!! Lorsque je travaillais à la librairie et que Michel David est décédé nous en parlions comme s’il était un membre de nos familles. Il y a 3 ans, j’ai invité Claire Bergeron, nous étions tellement contentes de la rencontrer ! » Louise Champagne-Guindon.

« Je termine tout juste votre magnifique roman, Un souvenir, mille remords. Bravo : j’ai appris beaucoup sur les atrocités de la dernière guerre. Je ne vous connaissais pas, mais quel plaisir de vous lire et je m’apprête à vous lire de nouveau. Alors, je retourne à la BANQ. Merci. » Jean Tremblay.

Concernant Le Châtiment de Clara:

” Je viens de terminer “The Chatiment de Clara” par Sergine Desjardins Il n’est disponible qu’en français et en kindle aux États-Unis. Ma sœur a demandé à son ami en Colombie-Britannique de commander le roman pour moi et de l’apporter à Seattle d’où ma sœur me l’a envoyé par la poste. Ce processus a pris un mois. Le roman se déroule à Paris du XVIIe siècle et concerne un procès anticipé pour viol. Il contient des informations sur le système judiciaire, le système de la peine capitale, le domaine de la médecine et La Salpetriere, le bras féminin de l’hôpital général. C’est un exposé du système juridique français du XVIIe siècle et de son incapacité à traiter le viol d’une femme mariée et de la croyance actuelle selon laquelle la conception était une preuve de consentement. Le roman montre aussi les effets du stress post-traumatique sur les victimes de viols des siècles avant même que les gens sachent ce que c’était. C’est une lecture inconfortable, viscérale, mais importante. Bravo Desjardins de nous avoir donné un aperçu immersif du passé pour nous aider à voir le présent dans son contexte et qu’il y a plus de travail à faire. Votre roman m’a coupé le souffle dans l’indignation sur les conditions et les lois de nos ancêtres. Dans les près de 350 ans qui se sont écoulés depuis le décor de ce roman, en pensant à la pub de Virginia Slims, avons-nous fait du chemin”Charlotte Bushroe

“Bonjour Sergine Desjardins! Je viens de terminer la lecture de votre roman: Le châtiment de Clara.Je suis très contente de pouvoir vous dire mon émerveillement à cette lecture. La profondeur des idées, l’intrigue, la riche documentation sur la vie quotidienne au 17e siècle, TOUT ce livre a concouru à mon bonheur. Je me dois de vous dire que j’ai lu tard dans la nuit. Il n’est pas exagéré de vous dire que j’ai dévoré votre roman. Merci de l’avoir écrit!” Suzanne Larocque, commentaire mis sur ma page Facebook, le 9 février 2019.

« J’ai terminé la lecture de ton roman «Le châtiment de Clara». Vraiment, tu as un talent remarquable pour ficeler une histoire qui nous tienne en haleine du début à la fin, doublé d’un réel talent de pédagogue. J’aime acquérir des connaissance à travers mes lectures et avoir l’opportunité de nourrir ma réflexion, ce que tu offres généreusement par l’imposante recherche qui appuie en général tes romans.» Yvonnick Roy.

” Que de bons moments j’ai passé dans l’univers de Clara, où l’histoire et le roman se chevauchent sur 620 pages bien ficelées. Le châtiment de Clara est un autre grand livre de Sergine Desjardins. Félicitation pour cette œuvre dans laquelle tu t’es investie corps et âme pour notre plus grand plaisir.” Christiane Caron. St-Étienne-des-Grès.

«Bonjour madame Desjardins. Je viens de terminer les deux livres achetés au Salon de livre de Rimouski : Le châtiment de Clara et Marie Major. Un peu de romance et beaucoup d’histoire: un mélange irrésistible. Très belle écriture.» Michelle Duchesne.

« Le châtiment de Clara …. Le châtiment d’une victime, dont le crime a été de ne pas accepter qu’un homme lui fasse subir les derniers outrages, d’en être malheureuse et de s’en plaindre. En lisant ce livre de Sergine Desjardins, j’avais le sentiment, en tant que femme, de marcher sur un chemin parallèle à celui de Clara, de lui tenir la main, en pensée, à des siècles de distance. Je ressentais sa colère, sa détresse devant le pouvoir que s’accordait, sur les femmes, la plupart des hommes de son époque (et encore trop d’hommes de la nôtre). Roman historique, roman aussi si actuel, roman de suspense, roman d’amour, riche de détails émanant d’une recherche intensive et honnête, bouleversant par les jugements portés et les décisions prises, Le châtiment de Clara révèle, comme ses autres écrits, le grand talent de son auteure. Sergine, merci. En nous révélant la vie des femmes d’une autre époque, tu renforces notre désir et notre détermination d’améliorer, de changer la vie des femmes d’aujourd’hui, de toutes les femmes de notre, parfois, si incompréhensible monde. » Diane Laurendeau Beaulieu. Repentigny.

« Chère Sergine. Clara m’a fait vivre des émotions du début à la fin. J’ai surtout réalisé comment les femmes violées peuvent vivre de la terreur, de la honte. En plus, ne pas être crue est, comme tu le dis si bien « un deuxième viol ». Heureusement, nous ne vivons plus comme au XV11e siècle, mais la justice d’aujourd’hui a encore des failles. Merci d’avoir donné à Clara la force d’aller jusqu’au bout. Merci à toi Sergine d’avoir fait de cette histoire… ton meilleur roman. Tu sais surprendre tes lectrices, te mettre à la place de tes personnages et de nous faire aimer ou bien encore déteste… ici, je parle du violeur évidemment. Avec une pareille imagination et une plume aussi sensible, je souhaite que ton prochain roman soit aussi captivant. » Francine Thériault. Québec.

« Je viens de terminer la lecture de votre dernier roman, Le châtiment de Clara. J’adore ce genre de livre où tu es captivé par l’histoire mais aussi où tu apprends également quelque chose sur les coutumes d’une autre époque. J’ai lu vos autres romans et vous êtes la seule qui savez m’amener à une époque si lointaine et l’apprécier. Merci vraiment pour la qualité de votre écriture. Je suis prête pour votre prochain. » Hélène Bernier. Commentaire sur ma page Facebook, 16 juillet 2017.

« Encore une fois, j’ai été captivée par votre roman… que j’ai encore lu trop vite. Y aura-t-il une suite? Le grand-oncle de Clara lui prédit qu’elle est appelée à aider. Vous nous en donnez un aperçu à la fin puisqu’elle aide les femmes victimes de violence. Mais peut-être qu’une suite pourrait être développée en Nouvelle-France? » Joan Smith.

« J’ai lu vos trois livres : la série Isa et Le châtiment de Clara. J’ai adoré les trois. Je suis une passionnée d’histoire. Vous décrivez tellement bien les émotions de vos personnages qu’ils viennent me chercher en plein cœur. Vous avez une très belle écriture avec beaucoup de vocabulaire. Merci pour ces belles lectures. » Marie-Josée Fortin.

« Bonsoir Sergine, j’ai terminé votre roman hier soir. Quelle aventure ! Que d’émotions. Qu’elle intrigue ! J’ai été sur le qui-vive à plusieurs occasions. J’ai adoré. C’est excellent et je n’ai jamais été déçue de vos histoires. De vrais bijoux et je n’exagère pas car je les lirais plusieurs fois. Vos livres font partis de mes préférés. Pour les amoureux de lecture, un roman à lire, vraiment excellent “Le châtiment de Clara”, tout comme “Marie Major” et “Isa”, qui nous fait vivre l’histoire de nos ancêtres, notre histoire. J’ai hâte de lire le prochain. Je les recommande à tous les amoureux de lecture et de romans, c’est excellent. Merci et au plaisir.» Guylaine Guérette. Deux messages mis sur ma page Facebook le 8 janvier 2018.

« Le septième livre de Sergine Desjardins, Le châtiment de Clara, traite d’une problématique millénaire : le viol des femmes. Le patriarcat existe depuis le début de l’humanité. Le patriarcat est le système socio-politique de subordination et d’oppression des femmes. À la fin de la lecture de ce livre, on entend la complainte de milliers de femmes de tous les temps et de tous les espaces qui dénonce la négation ou la minimisation du viol, la négation du non-consentement de la victime et le blâme de celle-ci. L’histoire se passe à la fin du 17e siècle et l’auteure a fait une recherche exceptionnelle au niveau historique, la démarche est rigoureuse et le sujet est traité avec sensibilité et justesse. » Raynald Horth. Ph.D. Terre-Neuve.

« Chère Sergine. Je viens de terminer la lecture du “Châtiment de Clara”. En fait, je l’ai terminé il y a une semaine, mais ça m’a pris tout ce temps pour me sortir de ce siècle d’injustices qui jusqu’ici m’était totalement inconnu Quelle œuvre magistrale! Mordu de roman policier – mon auteur favori, c’est Michael Connelly – je n’ai pu résister d’y appliquer mon côté « détective amateur » au début, mais comme je n’avais jamais lu un roman de ce genre où l’on vit vraiment la totalité des horreurs que subi la victime, j’ai vite changé mon approche. Comme tu dois avoir dû tricoter, puis défaire les mailles, puis tricoter à nouveau certains passages, voire même des pages entières, pour réussir ce tour de force. Il y a même des soirs où je t’imaginais vivre dans la peau de Clara! Tu as tellement vécu dans ta tête dans ce Paris du 17ième siècle j’ai la certitude que, s’il y a en toi un petit côté maquettiste, tu pourrais concevoir à la perfection le montage des scènes où ton roman s’est déroulé. Bravo! » Pierre Fortin. Laval. Message sur ma page Facebook, le 3 juillet 2017.

« Le châtiment de Clara : Une odyssée au cœur de l’expérience humaine dans tout ce qu’elle a de pire et de meilleure. Une traversée émouvante de toute la palette des émotions qui laisse ton humble lectrice un peu sous le choc, la gorge nouée de sentiments divers et le corps empreint d’une sensation d’apesanteur. Une œuvre magistrale que je salue de tout mon cœur, des larmes séchées sous les yeux. Ton âme est belle, Sergine. On ne voit que trop bien que tu aimes l’humanité et que tu la comprends. Ça crève les pages de tes écrits. Toutes mes félicitations pour ce tour de force littéraire. » Esther Paul. Commentaire sur ma page Facebook, 6 octobre 2017.

« Encore une fois, l’auteure nous fait découvrir une pléiade d’émouvants personnages. Sachant manier la plume et les sentiments comme pas une, Sergine Desjardins attache solidement son lecteur. Fait à remarquer, les maniaques d’Histoire seront comblés par sa « Note de l’auteure » où y est séparé le vrai de la romance. Quand on lit du Desjardins, on est entre bonne mains, car on sait que l’auteure a fait de multiples recherches avant d’écrire son histoire. Bien sûr que la dureté du propos d’une femme violée dans la fleur de l’âge, d’une femme dont la vie est brisée par le geste d’un sale personnage supporté par une magistrature complètement déconnectée ne m’a vraiment pas laissé indifférent. Je remercie Sergine Desjardins de m’avoir présenté ce sujet indécent et scandaleux, mais je sais par-dessus tout, qu’à partir de maintenant, puisque j’ai connu les hauts et les bas de la belle Clara, le grand amour de ses grands-parents et le beau cœur de plusieurs autres, je serai, pour le restant de mes jours, une bien meilleure personne. Encore, merci Sergine! » Jean Laurendeau. Commentaire sur ma page Facebook. 5 octobre 2017.

« Bonsoir Sergine, je viens de terminer la lecture de ton roman Le châtiment de Clara. Encore une fois une histoire captivante qui nous replonge dans le passé où la condition des femmes n’était pas facile surtout dans les circonstances où Clara se retrouve. J’ai adoré ce roman. Merci de nous écrire ces histoires passionnantes. » Message sur ma page FB, 26 juin 2017. Louisette Desjardins (sans lien de parenté). Rivière-du-Loup.

« J’ai terminé la lecture du châtiment de Clara. Ce fut un grand moment de plaisir et de tristesse (quel affreux sort était réservé aux femmes :( ) que de m’y plonger jour après jour. Merci pour cette si belle écriture :). » Message sur ma page FB, 14 juin 2017. France Lorrain. Mascouche.

« Bonjour. Je viens de terminer Le châtiment de Clara. J’ai adoré ce roman. Merci de nous écrire de si beaux livres. » Carole Guénette. Mont-Laurier. Message sur ma page Facebook 8 juin 2017.

« Je viens de terminer Le Châtiment de Clara … Quelle œuvre !!! Quelle histoire passionnante … Je suis entrée dans ce livre dès le tout début et je n’aurais pas voulu en sortir …. Je suis triste de l’avoir terminé … Une fois de plus, c’est comme si je quittais un ami précieux …. Tous ces personnages attachants, ce qui se passait à la Salpêtrière, en plus de d’Iberville dont tu nous apprends qu’il a été accusé de viol … Je dirais que ce livre est ton meilleur à date même si les autres sont 10/10 …. Merci Sergine de nous faire partager ces histoires passionnantes …. Faudrait que quelqu’un de Radio Canada soit au courant … mais comment contacter quelqu’un de cette société ……. …….. …… Que de recherches, que de travail cela doit te demander. Nous tes lecteurs, lectrices en sommes conscients !!!! Bravo une fois de plus !!! » Hélène Fortin. Sainte-Félicité. Message sur ma page Facebook, le 21 juin 2017.

« Le châtiment de Clara, roman de la rimouskoise Sergine Desjardins. À lire absolument. » Louise Tardif. Québec.

« Et voilà, j’ai terminé Le châtiment de Clara… et je crois que je ne suis plus la même personne : j’ai ouvert encore plus grand ma conscience sociale, aiguiser le féminisme en moi et j’ai mesuré le long chemin parcouru par les générations de femmes avant nous. Clara a désormais une place dans mon cœur, juste à côté de ma préférée, Marie Major ! Simplement merci à toi, Sergine, pour ce roman. Merci de nous partager tes connaissances et ton talent. » Linda Latouche. Saint-Jean-sur-Richelieu.

« Je viens de terminer la lecture de Clara. J’ai adoré. Captivant d’un couvert à l’autre. Merci beaucoup de m’avoir permis de connaître tous ces personnages. C’est certain que je vais continuer de vous lire. Mille fois bravo. » Marlène Carrier. Saint-Fabien.

« Madame! Madame! Madame! Que puis-je dire? OUF! WOW. Ouf: toute une histoire! Wow: époustouflant! Les mots me manquent pour dire à quel point j’ai ADORĖ; moi qui suis féministe, imaginez comment j’ai “vécu” cette histoire. Je vois que vous avez fait de nombreuses recherches et qu’il y a beaucoup de vérité dans votre roman. Nous sommes en 2017 et pourtant ……… Je vous dis chapeau ! » Ginette Lavallée.

« Chère Sergine, j’ai terminé la lecture de ton roman Le châtiment de Clara. Il m’était difficile de restreindre ma lancée d’un chapitre à l’autre pour dormir. J’ai tant aimé et pris conscience que la justice a beaucoup à faire même aujourd’hui concernant le viol. Ces victimes ont encore peur de la dénonciation. Toujours mises en doute sur l’impunité. Merci pour ces bons moments de lecture. » Maud Desjardins (sans lien de parenté). Saint-Jérome.

« Le châtiment de Clara, quel livre magnifique! À travers vos romans (Marie Major et Isa) que j’ai eu le plaisir de lire, vous nous racontez une partie de notre histoire, des coutumes de l’époque et du sort injuste réservé aux femmes puisque tout comme Marie Major, Clara a dû également changer d’identité. Vous nous faites également connaître divers endroits, dont La Salpetrière, d’où proviennent une partie des Filles du Roy. Nous pouvons ainsi nous imaginer un peu ce que ces femmes pleines de courage ont vécu. Ayant le souci du détail, vos recherches historiques ont dû être des plus laborieuses. J’avais acheté ce livre, il y a quelques semaines, et sachant à l’avance qu’il serait fort intéressant, je le conservais pour en faire la lecture lors de nos vacances en Gaspésie. Inutile de vous dire que je l’ai tout simplement dévoré. Encore une fois, merci Sergine, de nous faire vivre de si bons moments et j’attends avec impatience votre prochain livre, lequel, je l’espère nous racontera un autre pan de notre histoire. » Josée Courteau. Saint-Hyacinthe

« Bonjour, je suis en train de lire Le châtiment de Clara et comme j’ai de la difficulté à arrêter ma lecture, je le lis le soir avant de m’endormir. Comme ça, je peux profiter du soleil et de la chaleur. Il nous tient en haleine et, comme toujours avec vos livres, on prend plaisir à en apprendre davantage sur le mode de vie à cette époque. Je dirais que c’est un très bon livre pour les vacances. Félicitations ! Vous avez un beau talent. » Mylène Massé, sur ma page Facebook, juillet 2017.

« Je viens de terminer la lecture du “Châtiment de Clara” dans un temps record. J’ai beaucoup aimé et ça a mis en lumière des comportements et de façons de faire qui m’étaient jusqu’ici inconnus. J’ai adoré ce livre au point de délaisser mon mari, j’étais incapable d’arrêter ma lecture. Merci de nous faire vivre de si beaux moments. » Agathe Geoffroy. Notre-Dame-des-Prairies.

26 avril. Message sur ma page facebook : « Bonjours je viens de terminer la lecture de ‘Clara’. J’ai adoré cette façon que vous avez de nous faire voyager dans le temps en nous plongeant dans l’action pour nous amener au 17ième siècle comme si nous y serions. On se promène d’un personnage à l’autre pour tisser la trame du récit avec en prime l’histoire avec un grand H. Je suis rester accroché à ce roman avec avidité pour le déguster à chaque page. Merci de nous permettre d’entrer dans ton monde imaginaire et tellement présent en même temps. » Francis Desjardins (sans lien de parenté). Trois-Pistoles.

26 avril 2017, message sur ma page facebook, faisant suite au commentaire de Francis Desjardins : « Moi aussi, j’ai fini et je suis d’accord avec Francis. Très belle histoire qui nous accroche. On a toujours hâte de lire la suite. Merci. » Nicole Desjardins, (sans lien de parenté). Saint-Hyacinthe.

« Que de bons moments j’ai passé dans l’univers de Clara, où l’histoire et le roman se chevauchent sur 620 pages bien ficelées. Le châtiment de Clara est un autre grand livre de Sergine Desjardins. Félicitation pour cette œuvre dans laquelle tu t’es investie corps et âme pour notre plus grand plaisir. » Christiane Caron. Saint-Étienne-des-Grès.

« J’en suis à l’épilogue et je n’ai pas hâte d’en arriver à la fin… Avez-vous prévu une suite pour vivre plus longuement l’histoire de Clara pour laquelle on a un véritable attachement? » Lisette Loubert. Message sur ma page Facebook. 6 octobre 2017.

« Je viens de terminer la lecture (faite avec beaucoup de plaisir) de votre dernier roman “Le châtiment de Clara”. Toutes mes sincères félicitations. Quelle époque bien difficile pour les femmes que vous décrivez avec une telle vivacité !!! J’apprécie également le résultat des nombreuses recherches que vous avait dû faire sur le sujet. J’aime toujours apprendre du nouveau: je ne savais pas qui était la pourtant renommée peintre Artemisia Gentileschi. Lors d’un prochain voyage à Florence, je ne manquerai pas d’aller voir son tableau “Judith décapitant Holopherne” à la Galleria des Uffizi, ou même en Espagne à la cathédrale de Séville “ Marie Madeleine comme mélancolie”. Merci pour toutes ces heures d’intéressante lecture. » Diane Bonhomme Limoges. Espagne.

« J’ai lu votre livre avec grand plaisir. J’attends le prochain avec envie et je dois aller porter votre volume à ma mère de 85 ans. Bonne journée. » Hélène Deschesne.

« Je suis encore envoutée… pas capable de laisser ce livre plus de 15 minutes, le temps de m’alimenter et reposer mes yeux. Sergine Desjardins, tu es un génie ! » Thérèse Dubé. North Troy, Vermont. Message ajouté sur ma page Facebook le 28 mai 2017 : « Je ne me lasse pas de relire et relire car il y a toujours des petits détails… qui m’ont échappé. Votre écriture est unique. » Thérèse Dubé.

« Ce livre est sublime. J’ai eu de grandes difficultés à le poser afin de vaquer à d’autres tâches, c’était chaque fois un arrache-cœur. Sergine a encore réussi à me captiver. Triste de l’avoir déjà terminé. J’aurais aimé en lire au moins autant. Merci Sergine pour cette nouvelle œuvre que j’ai dévorée. Je te souhaite un best-seller car ce livre mérite amplement d’en devenir un. Je suis prête pour le prochain. J’ai adoré, vraiment. » Hélène Desjardins (sans lien de parenté). Mont-Joli.

« Je peux vous dire que c’est très bon. Je suis passée par toutes sortes d’émotions. Il est captivant et je l’ai lu en trois jours : on veut toujours savoir ce qui va arriver. Je vous conseille de l’acheter car ce roman est excellent. Merci Sergine. J’ai hâte de lire ton prochain livre. » Raymonde D. Jean. Rimouski.

« Je lis le livre de Sergine Desjardins Le châtiment de Clara. Je suis incapable de m’arrêter de lire tellement j’aime cette histoire et la beauté de l’écriture de Sergine. J’aime Le châtiment de Clara, comme j’ai aimé Marie Major. Je n’ai pas fini de lire ce beau livre et j’ai l’impression de vivre à Paris, pas très loin de la Seine, en 1688. » J.A. Lévesque. Rimouski.

« Je viens de le commencer et je suis triste de devoir le laisser reposer un peu. Le récit est diablement bien ficelé ! » Quelques jours plus tard : « Bon anniversaire chère Sergine. Suis en retard parce que j’étais plongée jusqu’au cou dans ton dernier roman. Impossible de le lâcher. Je suis passée par toute la gamme des émotions. Pas reposant ! Félicitations, tu as bien réussi d’autant qu’on peut y superposer les temps actuels sans mal. » Huguette Loubert, Montréal.

« Délicieux, vraiment bon. Vous avez tellement une belle plume. Merci encore. » France Lévesque. Matane.

« Je vous souhaite une très belle journée d’anniversaire! C’est curieux, c’est votre anniversaire et c’est à moi que j’ai acheté un cadeau, Le châtiment de Clara ! J’ai commencé à le lire hier soir … et je me suis couchée beaucoup trop tard! C’est excellent, j’étais très contente de vous retrouver! Au plaisir de vous revoir lors d’un Salon du livre! » France Lapierre. Laval.

« Un roman très documenté sur les mœurs de l’époque mais un sujet toujours actuel. Merci Sergine de nous offrir ces moments de lectures si enrichissants ! » Lise Hébert. Lévis.

Commentaires au fil de sa lecture de Madeleine Gagnon : « Je suis avec Clara depuis ce matin. Impossible de le quitter. Je m’instruis en même temps que je suis l’intrigue qui va de rebondissement en rebondissement… Bien ficelée cette histoire ! Documentée au possible ! Toutes les pages transpirent de petits détails posés comme une fille dentelle sur du satin. » Le lendemain : « Ce livre est comme un véritable gâteau aux fruits à la mode traditionnelle. Le dosage des ingrédients est parfait. La méthode de fabrication tient de références hautement sélectionnées. L’assaisonnement au clou de girofle redonne aux dialogues la fine pointe de nos partages secrets. À déguster par tranches d’un pouce par jour pour laisser macérer le dénouement. Un pur délice. » Dernier message : « Je viens de terminer. Je m’incline devant ce beau roman, douloureux et vrai. Votre immense travail glisse sur nos doigts empressés de tourner les pages. Votre meilleur, vous pouvez en être fière. Qu’attend Radio-Canada pour en parler ? Le Soleil de Québec pour nous le présenter? » Madeleine Gagnon. Sainte-Foy.

« Bravo Sergine. Grâce à vos romans, on connait mieux l’existence des premiers résidents de Nouvelle-France de même que la première femme journaliste au Bas-Canada. Toutes ces histoires qui ont fait de nous ce que nous sommes et que nous avons oubliées car on ne se raconte plus que les nouvelles officielles diffusées par les médias. » Marie-Claire Pouliot.

« Je termine aujourd’hui « Le châtiment de Clara ». C’est tellement bon. Il a sûrement demandé un gros travail de recherches. Bravo. » Francine Ouimet.

« Ta magnifique plume ne cesse de m’épater. Je suis époustouflé par le cheminement de Clara depuis le premier Ce n’est que par amitié, p. 27 et pourtant je ne suis même pas près de la moitié de ton dernier chef d’œuvre. Combien la mentalité masculine a évolué depuis et combien il y a toujours d’améliorations encore à venir ! De plus, quel travail de cloitrée, tu as dû accomplir pour te documenter si minutieusement du quotidien français du 17e siècle. As-tu accès à une machine à traverser le temps ». Pierre Fortin. Laval.

« J’adore. » Sylvie Bouffard-Gravel. Montréal.

Message sur Facebook, le 28 mai : « Je suis en train de lire Le châtiment de Clara. J’adore ! Je me couche tard, ha ha ! Vos romans sont tellement touchants. C’est mon style de lecture. À quand le prochain ? Je suis consciente que vos romans demandent beaucoup de recherches et un grand coeur pour venir nous attendrir comme vous le faites. » René Audet. Québec.

« Je viens tout juste de terminer ce livre qui m’a profondément touchée. J’ai aussi été très choquée par moment en pensant à toutes les femmes de cette époque à qui on refusait de rendre justice. Merci pour ce bel ouvrage, Mme Desjardins. Vous réussissez à nous amener avec vous dans cette époque que vous décrivez si bien. » Marie-Paule Kemp.

« C’est un roman exceptionnel… Ton meilleur à date, Sergine. » Hélène Fortin. Sainte-Félicité.

« Ça y est, Sergine. À 3 h. 30 cette nuit et en pleine insomnie, je suis plongée dans l’histoire de ta Clara à la lumière de ma lampe de poche (pour ne pars réveiller la maisonnée…). Les pages se tournent toutes seules. » Mona Andrée Rainville.

« Je viens de terminer la lecture du livre Le châtiment de Clara. J’ai de la peine d’avoir terminé la lecture de ce livre. Clara va me manquer. Je m’appliquais à lire quelques pages à chaque jour comme une bonne amie qui est à l’écoute des malheurs de son amie Clara. Je tiens à féliciter l’auteure Sergine Desjardins pour ce roman qui me fait réaliser les difficultés que nos ancêtres féminins ont vécues, plus particulièrement à cause des viols et qu’il est impératif de ne jamais retourner en arrière, car malgré certains progrès c’est encore un rapport fragile avec la justice. Merci mon amie Sergine : tu m’as fait passer du bien bon temps. » Louise Authier. Sur sa page Facebook, 4 septembre 2017.

« J’ai adoré ce livre. Non seulement suis-je passée par toute une gamme d’émotions, mais j’ai aussi énormément appris sur la façon dont les femmes, les enfants, les pauvres, “les sorcières”, etc…, étaient traités à cette époque pas si lointaine. On oublie à quel point, au fil du temps, ceux qui sont passés avant nous ont dû se tenir debout, se battre et faire preuve d’énormément de courage pour faire changer les choses. Personne de notre génération aujourd’hui ne pourrait bénéficier d’autant de liberté si ces gens de cœur n’avaient pas existé et sacrifié autant. Malheureusement, on ne réalise pas ça, on croit faussement que tout est acquis. Merci Sergine Desjardins de faire toutes ces recherches pointues avec tant d’acharnement et de passion afin de nous broder à l’aide de personnages sincèrement attachants, de si magnifiques histoires. » Chantal Desjardins. Matane. Message sur Facebook, 29 mai 2017. Le 25 avril 2017, elle écrivait : « Message à tous mes amis (et particulièrement à toi Ém Thib qui as adoré “Marie Major”), vous devez lire son dernier roman qui vient de sortir le 5 avril dernier. Je ne l’ai pas tout à fait terminé (ce qui ne saurait tarder) mais je peux déjà confirmer que c’est son meilleur. Je peux vous garantir une vaste gamme d’émotions, entre tendresse et rage profonde, plongé dans ce siècle, pas si lointain d’ailleurs, où j’aurais très probablement finie brûlée vive sur le bûcher. Quelle superbe plume tu as Sergine Desjardins. Je n’ose imaginer toutes ces heures consacrées aux recherches historiques ainsi que celles passées à ta table de travail pour arriver à ce bijou. Comme j’aimerais pouvoir me balader dans ta tête, juste une fois, pour voir comment naissent de si belles œuvres. » Chantal Desjardins. Matane.

« Excellent. C’est le meilleur de ta collection, Sergine. Bravo ! » Monique Fournier. Matane.

« C’est un roman exceptionnel. Ton meilleur, Sergine. Il est tellement bon que je voudrais ne jamais le terminer. Il faudrait en faire une série à Radio-Canada. Mais les convaincre, c’est une autre histoire ! » Hélène Fortin. Sainte-Félicité.

« Rien dans mon vécu n’aurait pu expliquer les sentiments de colère et de tristesse que ton livre a suscité en moi! Le génie de l’écrivaine sans doute! (…) Je tenais à te dire qu’encore une fois ton livre m’a touché profondément! Je le digère encore, plusieurs semaines après l’avoir terminé… Je souhaite que tu poursuives encore longtemps ton travail d’écriture, de recherchiste et d’historienne car cette mémoire de la « petite vie » et des « misères » de l’humanité se doit d’être racontée! Merci pour ton travail!» Louis Roy.

«Je viens de terminer Le châtiment de Clara que j’ai beaucoup aimé, mais j’en reviens toujours pas de la manière dont les femmes étaient traitées.» Hélène Houle, 11 septembre 2022.

Concernant Isa:

Chère Sergine, Ce n’est qu’hier que j’ai terminé la lecture des deux volumes du titre Isa… et me voici, t’envoyant quelques mots pour te dire le plaisir que j’ai eu à parcourir les quelques 800 pages et plus de ton écriture si personnelle. J’aurais tellement de choses à te dire sur les qualités que je suis prête à donner à ton écriture. Outre les questions et les idées qui me sont venues à l’esprit en cours de lecture. Je te suis redevable du temps et de l’intérêt que la recherche a dû demander pour préparer cette œuvre. Je ne doute pas un seul instant de l’implication que cela sollicite. Je suis admirative de la façon dont l’information puisée à des sources sûres a été intégrée dans le texte narratif. Les indications portant sur les faits historiques et les personnages ayant vécu nous empêchent d’être dans le doute quant à ceux-ci. J’ai particulièrement apprécié cet aspect du travail d’édition que tu as voulu ajouter. Au niveau historique, j’ai beaucoup appris sur l’évolution de la médecine surtout en regard du volet de la lèpre bien évidemment. Et je ne connaissais pas cet assaut de la température qui a donné le 6 novembre 1884 une tempête hors du commun au Bas-Saint-Laurent. Je ne veux pas t’accaparer plus qu’il ne faut mais je me suis posée une question quant au(x) lépreux ayant vécu à Rivière-du-Loup que tu mentionnes à deux endroits dans ton ouvrage. Je ne doute pas que, l’ayant écrit, tu puisses connaître leur nom. Puis-je te les demander? Y en a-t-il eu beaucoup? Pourquoi venir s’installer ici? Merci encore Sergine de ce labeur qui nous permet, nous les lecteurs, de vivre un moment dans l’histoire qui serait demeuré complètement inconnu en compagnie de personnages attachants. J’ai posé la question autour de moi et personne ne savait qu’il y avait eu au Nouveau-Brunswick une épidémie de lèpre. Ton œuvre se lit bien, les sentiments et émotions qui y sont décrits nous améliorent en tant qu’humain par leurs qualités, de façon générale. Ta grande connaissance du monde animal s’y reflète et soutient l’intrigue d’une manière significative. La grande diversité des types de femmes rencontrées au long de la lecture livrent une image bien campée. En tant que lectrice, j’ai été amenée à éprouver de la reconnaissance pour ce qu’elles accomplissent dans le roman. Du coup, celles qui ont réellement vécu nous intéressent particulièrement par leurs réalisations. En filigrane, merci d’avoir su si bien présenter notre région bas-laurentienne. Je te laisse sur ces mots mais je tiens à ajouter que le journal d’Isa qui s’inscrit en parallèle de l’édifice principal est une idée astucieuse et ajoute à la vérité du roman. “ Élisabeth Dionne. Rivière-du-Loup.

” Sergine Desjardins, outre de raconter ce triste épisode historique, va en plus traiter d’autres sujets très importants et qui vont alléger quelque peu les passages durs et poignants. Ainsi tu vas faire la connaissance de la sœur aînée de Isa, Fanny. Fanny est partie chez la sœur de son père, Gus, chez sa tante Marjorie à Québec. Avec Fanny et Marjorie entre autres tu liras la place de la femme dans cette société patriarcale et très religieuse. Comment étaient traitées ces femmes indépendantes comme Marjorie, peintre, célibataire et qui porte le pantalon. Par la cousine de Gus, Rosalie ; tu liras dans quel état précaire se retrouvaient les filles mères comme on les appelait enfin dernier thème, juste cité, mais qui a toute sa place c’est l’underground railroad, ce sujet est amené avec Rebecca une esclave en fuite. Ce qui m’a le plus touché dans ce roman ? Les personnages : Isabelle, en premier lieu. Comment, une jeune fille de 13 ans, innocente, victime d’une terrible injustice va tenir le coup. Une héroïne à la puissance de caractère incroyable. Elle garde foi malgré toutes les épreuves. Isabelle va mûrir très vite et comprendre qu’elle a besoin d’une carapace pour survivre, mais que, même emprisonnée sur cette île ils ne peuvent pas brider son imagination. « Pour se ressaisir, elle se disait que même si elle était emprisonnée, son esprit, lui était libre. En pensée, elle pouvait aller où elle voulait. » « Les murs de n’importe quelle prison ne peuvent emmurer l’imagination. Elle s’envole où elle veut, quand elle veut. » Une héroïne que je ne peux qu’aimer vu l’amour qu’elle porte aux animaux. Son cheval Mage et plus tard sa chienne Amy. Elle protège les siens autant qu’elle le peut en taisant les conditions plus qu’insalubres dans lesquelles elle est obligée de vivre jour après jour. « Une prison aux murs de vagues, de brume, de coquillages et de vent, mais une prison tout de même. Une prison dont les barreaux étaient faits de peur et de dégoût. Intangibles, mais aussi, sinon plus efficaces que de vrais barreaux de fer. Sheldrake était l’antichambre de la mort. » Ensuite, tu as Fanny et Marjorie. Marjorie c’est la femme indépendante. Elle a vécu à Paris et mène sa vie comme elle l’entend. Elle ne veut jamais dépendre d’un homme. Avec Fanny, tu verras que la force de caractère est un trait commun de cette famille. Fanny amènera beaucoup d’espoir, de légèreté une belle romance au récit, mais aussi des drames. Enfin, tu as Charlotte et Gus, les parents de Isa, Fanny, et Juliette, la cadette. Gus est un homme bon, comme on en rencontre rarement. Un mari et un père aimant qui ne bride aucun talent de ses filles. Peinture, musique, médecine elles ont droit de tout étudier. « Ma femme et moi sommes convaincus qu’il ne faut jamais briser un rêve, aussi impossible paraisse-t-il. On ne sait jamais comment les choses vont évoluer. » Charlotte leur mère est une maman-louve. Elle aussi très en avance sur son temps. Une femme qui, malgré les coups durs, les mots blessants qu’elle va endurer, même de proches amis, arrivera à pardonner ou au moins à ne pas devenir une femme aigrie comme cette Théodora, la commère du village, je l’ai détesté comme d’autres. Car si tu rencontres des personnages remplis de bienveillance tu rencontreras aussi l’inverse. Je pourrais te parler aussi du père François, plus encore de Rosalie, une femme qui m’a touché avec son dévouement pour son prochain, Théo, les docteurs Labergne et Key, les gardiens de l’île, etc. Toute une galerie de personnages impressionnante, tu as l’impression immédiate de les connaître et pourtant l’auteure reste très concise dans ses descriptions. Tu n’auras aucun temps mort grâce aux nombreuses intrigues qui s’entrecroisent. J’ai vraiment adoré cette saga, intéressante du point de vue historique, poignante avec le sort de ces malades laissés pour compte. Laissé pour compte, sans remède ni soin, vivant dans des conditions désastreuses qui empiraient leur état général et mental. Ostracisés, ils sont même pour certains rejetés par leurs proches. L’auteure décrit le climat de délation et de paranoïa qui régnaient à cette époque. Elle va te montrer la lâcheté des hommes face à l’amour inconditionnel d’un animal. Sergine Desjardins, à travers plusieurs femmes du roman va te décrire avec force, sensibilité et poésie ce qu’est l’amour maternel. La famille de Isabelle est une famille libre et ouverte d’esprit loin des esprits étriqués des grenouilles de bénitier. Des gens qui prient, prônent la charité, se rebellent contre ceux qui n’observent pas les préceptes de la bible, mais qui sont bien plus méchants et lâches que des personnes moins pieuses. Cette saga historique a tout le potentiel des grandes sagas familiales historiques. Nombre de thèmes sont traités intelligemment et justement. L’auteure mesure chacun des aspects du roman. J’ai appris beaucoup de fait en lisant ce livre comme l’expression la plume du chapeau et l’origine du chapelier fou, d’Alice au pays des merveilles ou encore les ethnies de ce jeune état. Richement documenté, mais jamais lourd je te conseille vivement ce premier opus et je termine en disant vivement la suite. Quelques citations : « Un jour, une lépreuse, étonnamment sereine malgré tous les maux qui l’affectaient, m’a dit que chaque épreuve est aussi un cadeau. Je n’ai compris que bien plus tard ce qu’elle voulait dire : chaque épreuve nous donne l’occasion de devenir une meilleure personne » Isa à Gus. « Je suis sur une île lumineuse qui pourrait être paradisiaque. Pourtant, je suis dans un monde de ténèbres. » « Quand on est jeune, on se laisse moins duper par les apparences. On sait d’instinct à qui l’on peut faire confiance. Plus on vieillit, plus on a l’occasion de constater que le mal ne creuse pas souvent son nid là où on le croit. Il habite aussi parfois le coeur des grenouilles de bénitier pour qui la charité n’est qu’une question d’apparences. » « Dire qu’avant, elle la (NB : la musique) considérait comme allant de soi. Désormais, elle savait que rien que rien n’est n’acquit une fois pour toutes. La vie est terriblement fragile et imprévisible. L’espace d’une seconde, on peut perdre tout ce qu’on aime. » « Jamais le nom d’une maladie ne devrait être une insulte. Les mots sont des tueurs silencieux. » Notes : C’est une fiction basée sur des faits historiques réels. La lèpre est loin d’avoir disparu. Il y aurait de dix à quinze millions de lépreux dans le monde. (note de l’auteure) Connais-tu les Micmacs ? On en parle dans le récit par le biais de Charlotte, ils étaient ses ancêtres. Voici une définition : Les Micmacs, parfois appelés Mi’kmaq, sont un peuple amérindien de la côte nord-est d’Amérique, faisant partie des peuples algonquiens. Il y a aujourd’hui vingt-huit groupes distincts de cette ethnie au Canada, et un seul groupe ethnique, la « tribu d’Aroostock ». Souris et des livres, 4 décembre 2018 sur Babelio, https://www.babelio.com/livres/Desjardins-Isa-tome-1–Lile-des-exclus/619303

“Tout aussi passionnant autant que poignant, le roman de Sergine Desjardins rend un hommage vibrant à tous les exclus ainsi qu’à tous ceux qui leur ont tendu la main. On se réjouit déjà de découvrir la suite des aventures de cette famille du Nouveau-Brunswick !” Ingrid Fasquelle, Lien : HTTP://HISTOIREDUSOIR.CANALB.. sur Babelio, octobre 2018 : https://www.babelio.com/livres/Desjardins-Isa-tome-1–Lile-des-exclus/619303

« Bonjour Mme Desjardins. J’ai eu l’occasion il y a plusieurs années de visiter la léproserie de Tracadie. À cette époque, je m’intéressais à ma généalogie et j’ai alors découvert que j’étais un descendant d’Ursule Landry, personnage dont vous glissez quelques mots sous un autre nom dans votre roman. Cette dame, vous le savez sans doute, avait eu des enfants avant d’être victime de la lèpre, dont 2 fils qui, je crois, auraient vécu l’enfer de Sheldrake. Elle aurait aussi eu des filles et l’une d’elles serait une de mes ancêtres. J’avais donc eu connaissance du drame vécu au cœur de Tracadie (Sans jamais avoir entendu parler plus précisément de Beaubair par contre) mais jamais, au grand jamais, sans la lecture de votre roman, je n’aurais pu comprendre la souffrance de tous ces gens touchés directement ou indirectement par la lèpre. Merci de me l’avoir si bien racontée.» Renaud Thomas

« Je viens de terminer la lecture de Isa, l’île de l’ermite. Je l’ai dévoré! L’île de l’ermite n’est pas l’oeuvre d’une historienne qui écrit un roman. Vous êtes une authentique romancière qui plonge ses personnages dans une autre réalité spatio-temporelle. Certains passages où Isa réfléchit à sa vie m’ont bouleversée. Merci et continuez à écrire, s’il vous plaît!» - France Lapierre. Laval.

« Je voulais vous dire que j’ai adoré votre livre Isa. L’île des exclus t.1. Je trouve que c’est un livre rempli d’émotions avec des personnages très attachants. Étant plus jeune je n’aimais pas beaucoup lire, maintenant je lis plus, mais quand je commence un livre et que je ne l’aime pas, je suis incapable de le finir. Votre livre par contre, c’est tout le contraire : je veux le lire au plus vite, puisque je suis si impatiente de savoir ce qui va arriver à Isa et à Fanny etc… Je trouve le livre très touchant et j’aime le fait que ce n’est pas juste l’histoire d’Isa, mais aussi celle de ses soeurs et de sa famille. Je suis vraiment contente d’être tombée sur vous et vos livres. Je suis impatiente et j’ai vraiment hâte de lire le tome 2. » - Alexandra Suchecki.

« Mille bravos, pour vos deux livres de Isa. J’ai dévoré le premier, et je suis en train de goûter au deuxième, qui semble aussi bon que le tome 1. Merci de me faire passer de si beaux moments en vous lisant. J’adore l’histoire de notre pays. Je suis généalogiste, donc tout ce qui se rattache à nous me passionne. Je n’ai jamais lu un livre parlant de la lèpre ici au canada. On s’imagine que cela ne nous atteint pas. J’étais si heureuse de pouvoir vous lire à nouveau. Car j’ai lu Marie Major, il y a plusieurs années. Mille mercis et poursuivez votre beau travail, vous me passionnez. » - Lucie St-Germain

« J’ai terminé ce matin la lecture du deuxième tome de ton roman Isa, l’île de l’ermite. Je veux d’abord souligner le courage de l’auteure pour avoir abordé un sujet aussi troublant et pathétique que la léproserie de Tracadie, dont j’ignorais totalement l’existence, croyant que la lèpre, cette terrible maladie, ne se rencontrait essentiellement que dans les pays chauds du pourtour de la méditerranée… Les conditions de vie sordides des lépreux et les perceptions médicales et sociales particulièrement cruelles de l’époque exigent certainement beaucoup d’empathie et de compassion de la part du lecteur… Mais la rédemption des principaux personnages et les promesses de vie heureuse qui s’ensuivent allègent heureusement le tout… J’ai pour ma part beaucoup de plaisir à connaître les valeurs de l’auteure à travers les réflexions de ses personnages, valeurs, idées et sentiments qui me rejoignent bien souvent… Merci encore une fois Sergine pour ce travail colossal empreint d’humanité. » - Yvonnick Roy.

« Je viens de terminer la lecture de Isa. Un gros merci pour cette page d’histoire et merci pour toutes les recherches que vous avez faites. C’est un beau cadeau pour les amoureux de l’histoire. » - Marie Sirois

« Finalement, j’ai achevé la lecture de L’île des exclus plus tôt que prévu. J’ai profité d’un séjour plutôt oisif à Auxerre pour poursuivre, avec délectation, la lecture du premier tome d’Isa. Votre “Note de l’auteure” m’a confirmé que j’avais affaire non plus à une biographie romancée mais à un roman mettant en scène une majorité de personnages fictifs, plongés dans un environnement historique précis : l’éloignement des lépreux sur une île, au milieu du XIXe siècle. Je sentais bien qu’il y avait quelque chose de différent : il n’y avait pas qu’une seule intrigue, comme dans Marie Major, voire aucune intrique, comme dans Robertine Barry, mais j’étais confronté à une succession d’intrigues qui relançaient l’intérêt de la lecture. Je dois avouer que je craignais, en abordant la lecture de L’île des exclus, de devoir vivre et respirer, pendant plus de quatre cents pages, dans les miasmes d’une léproserie, mais vous avez eu la bonté de soustraire régulièrement le lecteur à l’odeur putride de la cabane des lépreux pour lui faire humer des atmosphères plus respirables, à Québec et à Montréal. Vous avez eu raison de créer, autour de l’intrigue principale concernant la lèpre et la réclusion d’Isabelle, des intrigues secondaires plus ou moins fournies dont certaines seront, très probablement, développées encore plus dans le second tome. L’intrigue secondaire la plus présente, dans le premier tome, est évidemment celle qui réunit Fanny, Théo, Elisabeth et Valmont. Elle n’a pas pris fin au premier tome et se poursuivra donc nécessairement dans le second tome. Pour ma part, je préfère de loin Valmont à Théo, et souhaite que Fanny succombe à cet homme plus mûr qui me semble apte à élever Elisabeth comme sa propre fille, tandis que Théo me paraît engoncé dans des principes d’un autre temps. Une autre intrigue secondaire, que vous avez introduite un peu plus tardivement, m’a fort intéressé : il s’agit de celle qui réunit Gus, Charlotte et Adam. Vous annoncez qu’elle se poursuivra elle aussi dans le second tome et j’en suis ravi ! J’espère qu’Adam Labergne, que je trouve très sympathique, saura faire vaciller une fois de plus la pauvre Charlotte, partagée entre son attirance irréfléchie pour le docteur et son amour vieillissant pour un époux trop malléable et trop en retrait à mon goût. Contrairement à Agénard, qui n’est qu’un vulgaire prédateur, Adam Labergne est un séducteur qui aime les femmes et sait se mettre à leur diapason, déployant beaucoup d’énergie et d’imagination pour s’en faire aimer, même furtivement. Le fait qu’il soit volage ne fait pas de lui un personnage antipathique. Une troisième intrigue secondaire, beaucoup plus discrète pour le moment, réunit la jeune Juliette, dont vous avez peu parlé dans le premier tome, et son ami handicapé Zacharie. Vous les avez associés brièvement, et on peu penser que, dans le second tome, une histoire secondaire peut se développer. Et puis, je n’oublie pas Elisabeth ! J’ai l’impression que vous la réservez pour un tout autre roman. En effet, à la page 362, vous faites dire à l’un des personnages, à propos d’une tache sur le visage du poupon, que : “C’est bon signe. Le signe qu’elle aura un destin exceptionnel”. Une telle prédiction, dans un roman, ne peut être innocente. Elle doit nécessairement être développée par la suite pour la rendre réelle ou illusoire. J’ai l’impression qu’il s’agit de l’annonce précoce d’une nouvelle intrigue qui, si elle n’émerge pas dans le second tome, devrait être l’objet d’un prochain roman. Vous avez habilement relié Isa à Marie Major en situant Isabelle dans la descendance d’Antoine Roy et de son épouse. Qui plus est, vous avez relié Adam Labergne à votre ancêtre Antoine Roy, cet autre séducteur, en faisant en sorte que le docteur naisse lui aussi à Joigny ! Vous auriez pu choisir Ploërmel, en Bretagne, où est né le docteur Charles-Marie Labillois qui vous a inspiré le personnage d’Adam. Je ne crois pas que vous ayez choisi Joigny par hasard, comme lieu de naissance d’Adam Labergne. Ce dernier me semble être un double, peut-être même un lointain parent, de votre ancêtre Antoine Roy. J’imagine déjà que, dans le second tome, Gus assassinera, peut-être, Adam Labergne dans le lit qu’il partagera avec Charlotte ! En tout cas, tout indique que vous faites en sorte, pour le moment, de créer une oeuvre autour de l’arbre généalogique d’Antoine Roy et Marie Major, un peu comme les Rougon-Macquart d’Emile Zola. Je vous y encourage, en tout cas ! C’est la raison pour laquelle il me semble que le personnage d’Elisabeth, dont vous avez annoncé le destin exceptionnel à la page 362, est appelé à réapparaître un jour ou l’autre dans l’un de vos prochains romans, dans une nouvelle intrigue dépassant celle de son enlèvement. Vous aurez compris que j’ai beaucoup aimé votre roman. Il comporte plusieurs intrigues, comme on en trouve dans les séries télévisées qui font de l’audience pendant des années, et les personnages apparaissent au bon moment, prennent de l’ampleur et servent tous à quelque chose en faisant avancer les diverses intrigues narrées en parallèle. C’est une réussite ! Le premier tome s’achève en laissant le lecteur sur sa fin et en le laissant imaginer la suite. J’imagine déjà un passé moins reluisant pour Gus, qui expliquerait qu’il soit un peu courbé devant son épouse. Aurait-il des choses à se faire pardonner ? Et puis, pourquoi ses trois filles ont-elles des cheveux de couleur différente ? Une rousse, une brune et une blonde ! Le passé amoureux de Charlotte est-il aussi limpide qu’on pourrait le croire ? Sa fille aînée, la rousse, a été conçue avant le mariage. Apprendra-t-on que Gus n’en est pas le père ? Bref, je me fais mon propre cinéma, mon propre film, à partir des intrigues que vous avez laissées en suspens à la fin du premier tome. Je suis certain, d’ailleurs, que votre ouvrage servira de scénario à un téléfilm canadien, tant il est dans le droit-fil des histoires que l’on aime voir et revoir à l’écran.» Pierre Leclercq

« Chère romancière. Merci pour une belle page de notre histoire dans ISA et aussi chez Marie Major. Je suis membre de AFROY-A ou j’ai vu l’annonce de vos oeuvres littéraires. Je me réjouis de reconnaître le caractère des ROY dans cette tranche de nos ancêtres. Au plaisir de lire le 2me tome de ISA. Grand merci. » - Édouard Banville.

« Très chère madame Sergine. Je viens, à l’instant même, de terminer le tome 2 de Isa. Je suis toute retournée, touchée, émue. À deux occasions, j’ai pleuré ( c’est seulement la deuxième fois que je pleure, suite à une lecture ). Pourtant, des livres j’en lis “à la tonne”. J’ai appris énormément sur cette tragédie; les références auxquelles vous faites allusion apportent de l’authenticité à votre récit. Madame, les mots me manquent pour vous dire tout le bonheur, le plaisir que vous m’avez procurés. Vous faites partie de mes auteurs préférés et ai hâte de vous lire à nouveau. » - Ginette Lavallée.

« J’ai lu, avec beaucoup de plaisir, les livres “Isa, l’île des exclus” et “Isa, l’île de l’ermite”. Vous avez abordé dans ces livres un sujet qui m’était peu connu, soit la présence d’une léproserie à Tracadie. J’ai particulièrement apprécié la dernière section, soit les mémoires d’Isa, dans laquelle vous traitez de l’avenir des personnages jusqu’à la mort d’Isabelle et de son mari. Nul doute que si nous nous rendons dans cette région du Nouveau-Brunswick, nous irons visiter le musée portant sur la lèpre. Tout au long de ces romans, vous savez garder vos lecteurs en haleine et je dois vous avouer que je les ai dévorés. Précédemment, j’avais lu “Marie Major, fille du roi” et j’ai adoré ce roman qui nous renseigne sur la vie en Nouvelle-France à cette époque. Une de mes ancêtres est également une fille du roi et j’ai pu imaginer ce qu’elle avait vécu, elle aussi. Étant une passionnée d’histoire et, plus particulièrement, de la vie de nos ancêtres qui ont bâti notre pays, ce livre m’a fort intéressée. Ce que j’apprécie le plus dans vos livres, c’est que vous donnez des informations pertinentes sur le contenu du livre, par exemple, dans Marie Major ce qui est véridique et ce qui a été inventé, mais qui était fort probable à cette époque. Dans les livres d’Isa, la chronologie de la fin et l’identification des personnages qui ont existé, étaient fort intéressantes. J’espère sincèrement que vous continuerez d’écrire des livres d’époque qui portent sur notre histoire. Soyez assurée que je m’empresserai de les acheter. Encore une fois, merci pour ces beaux moments de lecture en compagnie d’Isa à Gus et de Marie Major!» Josée Courteau. Saint-Hyacinthe.

« Je viens de terminer Isa… vous êtes responsable de toute la poussière qui s’est accumulée chez moi!!! De l’ouverture du premier tome à la fin du deuxième… je n’ai jamais pu faire autre chose que lire. Mais je ne suis pas étonnée, j’avais vécu la même chose avec Marie Major et Robertine Barry. J’adore ces romans historiques qui m’instruisent sur notre histoire. Robertine Barry… une femme que j’ai découverte… une époque aussi, côté journalistique. Mais Isa, je ne savais pas que cette sévère maladie avait existé ici. Et, en plus, dans ce roman vous touchez tellement de sujets : Rosalie Jetté et sa vie, les sages-femmes et les « docteurs »… Et quoi d’autre, la vie en général de cette époque que vous avez tellement su bien interpréter à travers les trois sœurs. Fanny, Isabelle et Juliette. Bref, merci, Madame Desjardins, de m’avoir informée de cette partie de l’Histoire que je ne connaissais pas. Maintenant, j’ai tellement hâte de lire vos prochains écrits… » Joan Smith.

« Chère Sergine, Je viens de tourner la dernière page de “L’ÎLE DES EXCLUS” et je suis encore sous l’effet d’un tsunami d’émotions bouleversantes: une profonde tristesse et une chaleureuse compassion à la lecture du terrible sort de ces pauvres exclus sur l’ile Sheldrake; mais aussi la satisfaction de découvrir un autre chapître, celui-là bien dramatique, de notre histoire au Nouveau-Brunswick que je ne connaissais pas, et qui a soulevé cette empathie que je ressens envers tous ceux qui ont souffert de cette terrible maladie et du rejet social qu’elle impliquait. Ton livre compose tout un tableau de personnages très vivants, auxquels on s’attache énormément ou que l’on abhorre avec autant de passion, entre autres l’atroce couple assassin des “butterbox babies”. De la lèpre, je n’avais qu’un seul souvenir, une scène qui, adolescente alors, m’avait énormément impressionnée: celle où dans le film BEN-HUR celui-ci découvre dans la grotte des lépreux sa maman et sa soeur. Maintenant j’ai appris que tout près de chez moi, en Tracadie, il n’y a pas si longtemps, des personnes avec qui je me sens liée en terre canadienne, ont subi ce terrible fléau. Merci de m’avoir rapprochée dans le temps et l’espace à ces pauvres infortunés. D’autre part, augmenter mon vocabulaire français et retracer l’étymologie de plusieurs termes me fascinent toujours: je sais maintentant de quelle couleur est une robe “isabelle” et l’intéressante anecdote sur Isabelle I de Castille lors du siège de Grenade ! En espagnol je constate qu’un “isabelo” ou “isabelino” est un cheval dont la couleur est jaunâtre !! Je ne savais pas non plus ce qu’était une “dame-jeanne”, et vivant ici dans le pays de Don Quichotte, je devrais bien le connaître, en espagnol c’est le même nom “dama juana” !! et on en trouve beaucoup dans plusieurs boutiques, je les désignais simplement comme une “cruche”… nouvelle acquisition, une “dame-jeanne” !!. Des expressions québécoises que j’avais probablement oubliées et que je trouve bien colorées: “pousseux de crayons” , “banc de quêteux”, ou des termes acadiens “mézel”, “galance”, des références aux Micmacs, “Glouscap”, l’origine du mot “Rimouski” que tu mentionnes “retraite des chiens” et “terre des orignaux”. J’ai lu sur internet que “Tracadie” viendrait de la langue micmaque “Telagadik” qui signifie “lieu de campement” ?? Les références à des peintres comme Rosa Bonheur et Luke Fildès, m’ont replongée dans internet pour aller admirer leurs magnifiques tableaux que tu mentionnes “Le Marché aux chevaux” et “The Doctor”. J’ai apprécié ces émouvantes citations de célèbres écrivains, entre autres, Lamartine ( “.. un seul être vous manque et tout est dépeuplé”) du poème “L’isolement” dans le recueil “Premières Méditations Poétiques”; la référence au récit de voyage de G. Sand avec F.Chopin, “Un hiver à Majorque” m’a transportée à cette île enchanteresse que j’ai visitée il n’y a pas longtemps, et précisément l’endroit même où ils ont habité, la “Chartreuse de Valldemosa” un ancien monastère. Le retour aux ancêtres liés à Marie Major m’a transportée de nouveau dans cet autre envoûtante histoire que tu nous as léguée! Grâce à une agile plume et à des recherches ardues, le résultat est un autre de ces livres “magiques” comme tu disais si bien: il suffit de “savoir les déchiffrer pour entrer dans la tête d’une personne absente: celle qui les avait écrits. Lecteur et écrivain communiquaient à distance. N’était-ce pas là une forme de magie?”. Merci Sergine la magicienne !» Diane Bonhomme. Espagne.

« Je viens de fermer Isa. Écrire l’horreur avec une telle intensité, c’est magistral! Merci aussi de mettre du nouveau dans mon coffre à mots. Patibulaire, dame-jeanne, heur, à bas bruit, en deux coups de cuillères à pot… Je pars maintenant à la rencontre de Marie Major.» Marie-France Rioux.

« Bonjour, je viens de terminer le premier tome de isa. Ce livre est magnifiquement bon, je l’ai dévoré. Merci beaucoup de nous faire connaitre ce petit bout de l’histoire. Très hâte de lire le deuxieme tome. » Maly Blais.

Concernant Robertine Barry:

“Je suis également en train de lire le second tome de la bibliographie que vous avez rédigée sur elle. Je l’aimais déjà, et maintenant, toute embrasée d’admiration et d’amitié et de passion que je suis… je vois défiler les dates et redoute de terminer ma lecture, sachant très bien que j’en aurai le coeur tout chamboulé. Enfin… Je tiens à vous féliciter pour ce travail colossal que vous avez accompli. En parcourant des yeux la bibliographie, je ne peux que m’émerveiller et m’émouvoir devant tant de vaillance, de patience et d’amour à la faire (re)connaître. Je suis du même avis que Christiane Caron : Robertine Barry vous doit effectivement une fière chandelle! Mille merci de raviver le souvenir de cette femme incomparable, de tout son entourage (qui recèle d’autres diamants de l’époque et qu’on tend à oublier, hélas!) et de son époque. Vous avez toute mon admiration! Ma foi, je viens de terminer ma lecture et j’ai le coeur un peu triste et surtout très émerveillé de voir ce que cette femme a accompli pour paver la voie à un avenir d’égalité entre les deux sexes et pour améliorer le Québec. Plus de cent ans après sa mort, la voilà qui respire, qui rit, qui s’interroge et qui souffre par vos mots. C’est merveilleux! Je sens que cette magnifique biographie, que vous avez rédigée avec tant de coeur à l’ouvrage, fera partie de ces livres qui recevront régulièrement ma visite au fil des ans pour faire de moi une femme meilleure. C’est par Émile Nelligan, que j’ai découvert tout à fait par hasard quand j’étais au secondaire, qui m’a aidée à exprimer mes souffrances d’alors par la poésie et sous le charme duquel je suis passionnément tombée, que j’ai commencé à connaître Robertine Barry. Alors, quand j’ai vu la biographie de Madame Desjardins sortir, je me suis procuré le livre en question, hésitant à l’ouvrir, sachant très bien que j’allais ressortir de ma lecture dans un état…! Ouf! Comme j’avais raison! Me voilà hantée à jamais, positivement, bien sûr, par cette femme qui semble sortie d’un roman tant, par endroits, sa destinée touche au fabuleux. J’ai même commencé à lire le Journal de Françoise. Il va sans dire que je suis béate d’admiration devant la haute voltige intellectuelle et littéraire qu’elle a colligée dans son Journal. Je pourrais encore discuter de bien d’autres aspects qui m’émerveillent chez Robertine. En effet, la liste ne fait que commencer. Quand je me passionne pour un sujet, ce n’est jamais à moitié, comme vous pouvez le voir.” Esther Paul. Drummondville.

« Je termine à l’instant même la lecture du tome 2 de “Robertine Barry” et je tiens à vous dire:”Wow et merci”. Wow pour toutes ces recherches que vous avez faites sur cette dame québécoise méconnue sinon inconnue et merci de nous la faire connaître. J’ai acheté les deux tomes en me disant que cela serait intéressant de lire cette histoire par temps libre tout en lisant en même temps un autre roman plus captivant puisqu’un livre relatant l’histoire d’une journaliste québécoise ne pouvait qu’être une énumération de dates et d’anecdotes sur sa vie donc se lisant à petites doses suscitant un intérêt plus ou moins grand. Je m’excuse de ma grande erreur de jugement! J’ai lu sans pouvoir m’arrêter les deux volumes l’un après l’autre sans lire autre chose car j’ai trouvé tellement riche l’écriture de cette biographie et se lisant comme un roman. Une histoire riche de contenu, vivante, captivante et si près de nous encore aujourd’hui. Je dis comme vous: “Dans leur coeur, comme dans le mien, elle est entrée pour n’en jamais sortir”. Je suis très touchée par la vie de cette femme qui se doit d’être connue et reconnue pour tout l’apport qu’elle a contribué à doter le Québec. Je puis vous dire que je parlerai d’elle autour de moi afin que les femmes sachent qu’elle nous a représentées, défendues et qu’elle a voulu pour nous un avenir plus grand. Cette dame journaliste a fait grandir le monde du journalisme et a ouvert les portes à toutes ces femmes actuellement en poste dans divers médias de communication Je vous remercie pour toutes ces recherches et d’avoir écrit ces livres car,sans vous, jamais, Madame Robertine Barry ne serait sortie de l’anonymat. Je souhaite longue vie à ces livres et il importe de continuer à la faire connaître. Je vous souhaite une bonne journée. » - Lucille Caron, ville de Québec.

« Je vous écris en vrac ce que j’ai aimé dans la lecture des deux tomes sur Robertine Barry. Lecture fascinante : on apprend un tas de choses, comme cette bibliothèque que l’Américain Carnegie voulait donner à Montréal et… qu’on a refusé. Que le vibro-masseur faisait partie des instruments des cabinets médicaux du début du vingtième siècle. Que Kellog a créé les céréales pour calmer les ardeurs sexuelles etc… Tout ce qui concerne Nelligan ici m’a passionné. J’ai noté dans mes cahiers de lecture cette belle pensée d’Eleanor Roosevelt : « Les grands esprits discutent des idées; les esprits moyens discutent des événements; les petits esprits discutent des gens. » Je termine en vous disant que j’ai fait presque tous les Salons du livre de Montréal et en pensant à ce que vous m’avez raconté au sujet de Nelligan-Barry, je dois dire que ce fut là la plus belle rencontre que j’ai faite dans un salon du livre. Et je veux vous féliciter, Madame, pour l’habileté que vous avez eus à mixer les citations à votre texte narratif. Ce n’est pas évident cet amalgame. Vous avez un don pour l’écriture. Cette juxtaposition aurait pu être lourde. Jamais ici. » - Paul Daoust.

« J’ai commencé la lecture de votre Robertine. Après une cinquantaine de pages, j’étais convaincu d’avoir en mains un très grand livre, d’une importance historique énorme pour le passé, le présent et l’avenir. Vous me comblez de bonheur par votre écriture majestueuse et vos phrases attachantes. Votre biographie est le fruit d’une recherche approfondie et l’on sent que vous aimez votre Robertine. Deux qualités d’une bonne biographie. J’aime bien quand on entre dans les écrits mêmes de Robertine, qui nous font découvrir sa pensée très originale et très méconnue » - Georges Aubin, écrivain.

« Chère Madame, je me permets de vous écrire en tant que lectrice de votre biographie de Robertine Barry que je dévore littéralement. Je ne suis qu’au début du deuxième tome et je me régale. Je sais ce qu’il en coûte de faire revivre un morceau du passé… et je ne peux vous offrir que mon admiration et mes remerciements » - Cécile Gagnon, écrivaine.

« Je viens de terminer vos deux tomes de la biographie de Robertine Barry. Quel bonheur de connaître une femme de cette trempe. Et quelle surprise de connaître une femme aussi moderne en des temps si conservateurs et limitatifs pour les femmes. Robertine m’a touchée en plein coeur ne serait-ce que par son courage, son audace, sa culture et son universalité en plus d’une personnalité fort attachante. Dommage qu’elle soit disparue si jeune. Elle sera dorénavant un modèle dont je serai bien fière » - Huguette Loubert. Montréal.

« J’adore votre écriture mais surtout vos recherches. Je sais trop combien de fouilles, une simple phrase peut demander! Ce que je trouve absolument fascinant c’est de pouvoir suivre, mentalement, le parcours de l’enfance de Robertine. La voir dans le Manoir que je connais, l’imaginer dans notre belle baie, jouer dans la cour de l’ancienne église à l’architecture si particulière. Je trouve juste dommage que les gens qui ne connaissent pas Escoumins ne puissent pas avoir cette vision si claire. C’est tellement bien décrit que j’ai passé une partie de la soirée dans la rue de l’Église hier! Je vous salue bien bas et vous remercie à l’avance des merveilleuses soirées que je passerai avec ce livre… et le suivant!” » - Nataly Brisson. Les Escoumins.

« Le deuxième tome de Robertine Barry est un chef-d’oeuvre d’écriture et une exceptionnelle rigueur de la recherche historique » - Raynald Horth. Terre-Neuve.

« La lecture de la biographie de Robertine Barry m’a fait vivre de belles heures en sa compagnie et en la vôtre. Parcourant cette riche histoire, je me suis laissée transporter au coeur même de l’époque où mes grands-parents, comme les vôtres sans doute, travaillaient très fort pour garder la tête hors de l’eau et nous assurer, par leur courage, une part de notre avenir. Mais que dire de celles qui, comme Robertine, ont pris la parole et posé des gestes aussi porteurs de vérité et de liberté, donnant ainsi une voix aux femmes du pays ; oui, le courage était omniprésent chez elles. Merci de reprendre le flambeau à sa suite. Ce geste d’écrire révèle votre foi en la valeur de l’éducation et du “Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers » - Diane Roy. Boucherville.

« En voyageant l’été dernier du côté de Trois-Pistoles, j’ai découvert votre merveilleux livre Robertine Barry, la femme nouvelle. Ayant fréquenté toute ma vie cette belle région en plus du fait que ma famille a bâti un chalet à St-Simon au bord du fleuve, j’ai eu l’impression non seulement d’apprendre sur cette pionnière et sur cette belle région mais aussi de revivre de bien beaux souvenirs. J’ai vraiment hâte de lire la suite » - Renée Collette.

« Juste un petit mot pour te féliciter, Robertine Barry est toute une femme. Je n’ai aucune difficulté à penser à tout le temps que tu as investi dans les recherches et l’écriture de cette belle biographie. J’ai beaucoup apprécié la lecture d’une partie de la vie de Robertine, en attente de la suite! Merci de nous faire connaître une femme de tête, qui a ouvert les portes d’un milieu masculin, vraiment une femme attachante » - Louise Lapointe. Québec.

« J’ai lu cette biographie comme un véritable mémoire, très érudit et fort bien documenté, écrit à la mémoire d’une vraie pionnière de l’éducation et de l’émancipation des femmes au Canada français. Dans ce mémoire, vous avez laissé très largement la parole à Robertine Barry, mais également à d’autres plumes, vous attachant plus particulièrement à agencer, et à mettre en scène, tous leurs écrits pour les articuler au mieux avec votre propre texte. Ce faisant, vous avez su éviter de vous laisser influencer par le style élaboré de Robertine Barry, avec de nombreuses propositions incises et tout un florilège de jolis verbes déclinés à l’imparfait du subjonctif, ce qui vous a permis de rester quelque peu en retrait afin de mieux vous mettre au service des textes d’autrui. Le thème central du premier tome de votre mémoire est bien évidemment le féminisme, annoncé d’emblée dans le titre même de l’ouvrage : “Robertine Barry, la femme nouvelle”. Au hasard des rencontres de votre héroïne non romanesque avec d’autres femmes, vous avez su dépeindre toutes les facettes, toutes les variantes du féminisme canadien à la fin du XIXe siècle, dans une vaste panoplie allant de positions plutôt conservatrices, où le mariage et la vie de famille restent un idéal féminin, jusqu’à des positions plus radicales, défendues par Robertine Barry, où les liens matrimoniaux sont ressentis comme constituant une cage dorée où l’épouse, soumise à son mari jusqu’au milieu du XXe siècle, ne peut pas s’épanouir et finit donc par dépérir. Votre mémoire permet de mesurer tout le chemin parcouru depuis lors, ceci jusqu’en ce début du troisième millénaire, mais aussi toute la route qu’il reste bien évidemment à parcourir » - Pierre Leclercq. Paris.

« J’ai lu (dévoré devrais-je dire) avec un vif intérêt votre Robertine Barry, la femme nouvelle ; alors, bien vite la suite! C’est étonnant le regard qu’on pose parfois sur l’Autre: l’amérindien, la femme, le noir, le pauvre… On peut mesurer aujourd’hui le chemin parcouru par les femmes dans notre société. Lorsque j’ai commencé mes études secondaires à l’externat classique de Trois-Pistoles, au début de la décennie soixante, aucune fille n’y avait été admise. J’ignore s’il s’agissait alors d’une politique délibérée. Quoiqu’il en soit, les filles, deux en l’occurrence, « envahirent » l’Externat quatre ans après mes débuts. Aujourd’hui, 372 ans plus tard, les Ursulines de Québec s’apprêtent à ouvir leurs classes aux garçons. L’Histoire a de ses retournements et c’est précisément ce que je cherche dans mes lectures et que vous m’offrez par votre travail, des perspectives historiques qui nourrissent et font grandir, merci » - Yvonnick Roy. Québec

« Je joins ma voix à ce charmant concert pour dire que la biographie de Robertine est une merveille qui s’est lovée dans mon cœur pour y rester à jamais. Depuis ma lecture de l’œuvre l’été dernier, il ne s’est pas passé une semaine sans que je pense avec attendrissement, tant à Robertine l’audacieuse journaliste et la femme à la personnalité ravissante, qu’à Sergine la biographe passionnée et méticuleuse qui, par un tour de force, rend toute légère la lecture d’un sujet pourtant si densément riche. Vraiment, je vous en recommande la lecture. » Esther Paul, sur ma page Facebook, 28 juillet 2017.

« Je me suis plongée tête première dans ton livre sur Robertine Barry. J’ai tout de suite été accrochée. Comme je n’avais pas terminé un roman commencé plus tôt, je voguais jusqu’à hier soir entre ces deux eaux mais aujourd’hui, c’est uniquement aux pas de Robertine que je m’accorde. Quel bonheur de la suivre dans sa quête d’autonomie, d’indépendance, de féminisme dans un monde fermé qui ne mérite que d’être bousculé! Son écriture me touche, je la trouve forte, sensible et agréable, parfois drôle, parfois cinglante mais toujours convaincue. Je trouve ton écriture rafraîchissante et bien menée. On te suit dans l’âme de ta Robertine, dans ses joies, ses peurs, ses interrogations et tout cela avec force détails dûs à une recherche solide et soutenue! » - Rollande Lambert. Trois-Rivières.

« Je viens de terminer la lecture de ton premier tome concernant Robertine Barry. J’ai appris beaucoup dans ce livre sur la mentalité des hommes de ce temps-là. Je savais que le système tenait les femmes loin des intérêts sociaux autre que la famille. Ton livre m’a permis de comprendre le combat qu’ont mené ces femmes pour faire évoluer la société qui est maintenant la nôtre. Tu nous fait découvrir Robertine dans la vivacité de son esprit et l’amour des autres. Elle était certainement une grande journaliste et écrivaine. Par contre, dans mon esprit, tu mets autant de détermination dans la recherche et dans l’écriture de tes textes. Ce qui me fait penser que tu es une digne représentante du milieu des écrivaines et écrivains. Tes recherches et ta façon de livrer l’information nous tient en haleine tout au long du livre. La lecture de ton livre nous amène en crescendo vers la découverte des Fleurs Champêtres. Tu nous donnes l’envie de lire et d’aimer ces Fleurs. J’ai beaucoup aimé ce livre. Ne pas le lire m’aurait fait passer à côté d’un pan de l’histoire de notre beau pays. J’ai hâte de lire le deuxième tome. Je suis certain qu’il sera aussi intéressant » - Gilbert Desrosiers.

« J’ai été captivé par l’histoire peu banale de cette femme que je ne connaissais pas. Je suis très impressionné par la somme de recherche que vous avez dû faire. J’ai déjà hâte au deuxième tome! » - Rosaire Desjardins. Saint-Pascal.

« Madame Desjardins, je tiens à vous dire combien j’ai aimé le livre sur Robertine Barry. C’est une personne extraordinaire, méconnue, et vous la faites sortir de l’oubli. Je vous en remercie de tout cœur. J’ai aussi beaucoup apprécié Marie Major; une lecture instructive et agréable. Merci pour ces belles heures passées en compagnie de vos livres et félicitation pour ces magnifiques ouvrages.» Marie Marchessault.

« Bonjour Madame Desjardins, Je viens de terminer vos deux beaux volumes sur la biographie de Robertine Barry. Cette lecture m’a fait connaître cette grande femme que je ne connaissais pas avant d’avoir lu la biographie d’Honoré Beaugrand. Je voulais vous dire merci pour votre travail. Le chemin de l’émancipation des femmes a été très lent et long et il reste tellement de travail. Je trouve cela triste que Robertine n’ait pu voir ses efforts récompensés… Cette biographie n’est pas seulement sur la vie de Robertine, mais sur une époque du Québec qu’on a tendance à oublier. Salutations et toute mon admiration. » Nancy Boily

Concernant Marie Major:

« Je suis une descendante de Antoine Roy dit Desjardins et de Marie Major : à la 3e génération, mes aïeuls sont Augustin et Jeanne Boucher Montbrun. J’ai adoré votre merveilleux livre – Marie Major – que j’ai donné en cadeau et qui fût très apprécié. Vous avez une magnifique plume, Madame. » Huguette Roy.

« J’ai dévoré vos livres. Ils sont écrits dans le style des grands écrivains, avec intelligence… pas de longueurs inutiles. Je lis et relis vos écrits. Ils me passionnent. Bravo.» Raymonde Talbot. Commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Being a direct descendant of Marie Major. Il was eager to read this novel. Il don’t speak or read French so I had it translated. Il was totally shocked, saddened & dismayed by Marie’s tragic life & fate. I would love to meet with you one day & discuss our ancestral heritage & discuss your novel. Congratulations on the 9th edition. The power & dynamic of Marie Major’s soul lives on. Injustice is timeless ! »Astrid Clements, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« This book is great ! Brings the time period to life… And really truly needs to be translated into English for the ancestry fans and genealogists to read ! Thank you cousin for writing this amazing, inspiring and historical fiction for every descendant (Desjardins or Roy ) of Antoine and Marie who were told the story at family aatherings throughout the years. Your book is wonderful ! » Kim Carter, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« C’est un excellent volume, très bien écrit. Merci Sergine pour ta merveilleuse plume qui nous transporte ailleurs.» Suzanne Lapierre, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Félicitations. Un ouvrage de grande qualité. » Reggie Pigeon, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Un anniversaire qui se devait d’être souligné. Un superbe roman d’amour historique qui reflète toute ta sensibilité, ton empathie et ton respect pour nos ancêtres.» Diane Laurendeau Beaulieu, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« J’en ai 2 et je compte bien me procurer le spécial 15e anniversaire. Merci et félicitations.» Monique Mo Desautels, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Je recommande ce roman à tous.» Murielle Normand, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« C’est avec plaisir que je partage. Je conserve un très bon souvenir de la lecture de votre livre.» Domnique Fabre, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Pas étonnant qu’il soit de nouveau édité, c’est tellement un bon roman, comme tous ceux que vous avez publiés d’ailleurs. Très heureuse pour vous.» Nicole Duperron, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Je suis franco-ontarienne et je viens juste de vous découvrir. Vous êtes une autrice extraordinaire ! Je vais dire à mes amies de vous lire ! Vous êtes maintenant mon autrice préférée. Merci infiniment.» Louise Champagne-Guindon, commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

” Bonjour Madame, Vous avez produit un ouvrage d’une grande qualité tant littéraire qu’historique. Marie Major est un livre remarquable en tout point de vue, l’un des plus éblouissants que j’ai lus eu égard à son excellence et à sa littéralité. Un ouvrage sublime qui, à mon humble avis, aurait mérité le prix Goncourt. Merci d’avoir publié ce magnifique roman. Meilleures salutations.” Jean-Claude Romera, écrivain.

« J’ai dévoré Marie Major en très peu de temps. J’ai adoré! Vous avez trouvé moyen de reconstituer une histoire plausible et passionnante avec bien peu d’éléments… Et, je n’en doute pas, beaucoup beaucoup de recherches! J’ai tellement apprécié que vous vous intéressiez à Marie Major, et par là même occasion à la condition des femmes de cette époque plutôt qu’à seulement Antoine. Tout ce que vous avez imaginé – ou adapté d’événements potentiels - nous a rendu cette femme tellement concrète, tellement proche. C’est comme découvrir une amie. Je voulais vous remercier de cela, vous dire que votre style très agréable à lire, cette histoire rendue passionnante par votre imagination et votre talent de conteuse, votre aptitude à vous mettre dans la peau des personnages, de même que les annexes historiques, tout m’a touchée et vraiment intéressée. Merci, de la part d’une lointaine cousine, et félicitations. » - Nathalie Métivier.

« Tout au cours de ma lecture, lorsque je suivais les traces de vos personnages, principalement les endroits de la basse-ville et ceux de la haute ville, j’étais transportée dans ce milieu réel que j’ai visité à plusieurs reprises dans ma jeunesse. Cet été, je suis retournée avec des membres de la famille avec l’intention de me renseigner davantage sur des faits caractérisant la «petite histoire» de la Place-Royale. En lisant votre livre, je me suis souvenue de faits croustillants racontés par la guide du Musée de la civilisation. Quel plaisir j’ai ressenti en me replaçant avec vos personnages dans le contexte de cette époque de la Nouvelle-France! Vous avez relevé ce défi avec excellence. Férue de littérature, vous réussissez avec brio à partager votre amour pour l’histoire. Je recommande votre roman à la parenté et à mes proches.
Nous pouvons bénéficier de vos nombreuses recherches, de votre labeur et de la passion qui vous anime; il s’agit de nous prévaloir de ce privilège qui nous est accordé pour nous approprier notre passé » - Gilberte Drouin.

« J’ai terminé Marie Major depuis quelques jours et je l’ai toujours en tête. C’est un très beau roman qui m’a donné deux bonnes nuits blanches de lecture! Et en férue d’histoire, tout au long, je me suis demandé ce qui était historique et ce qui était inventé. J’ai trouvé mes réponses à la fin de votre récit. Très bel amalgame tout en étant fidèle à l’histoire. L’imaginé plausible. Vous avez vraiment beaucoup de talent » - Huguette Loubert. Montréal.

« Je viens de terminer la lecture de Marie Major, qu’elle femme extraordinaire et courageuse, tout au long de ma lecture je t’imaginais toi en Marie Major. Si j’avais vécue à cette époque j’aurais certainement été la rebelle, celle qui ce serait battue contre ces lois stupides. Je n’ai pas aimé ce roman je l’ai adoré. Je suis maintenant à la lecture de Robertine Barry et pour l’instant je suis tout simplement fascinée. Je te lève mon chapeau, et je comprends pourquoi on t’a remis le prix Jovette Bernier j’ai rarement lue des biographies aussi palpitantes. Marie Major, je l’ai tout simplement dévoré, impossible de dormir sans me plonger dans sa vie, et je crois bien que ce sera pareil pour Robertine. J’adore » - Claire Gagné. Trois-Pistoles.

« Lecteur français de Paris, je voulais par ce mail vous dire tout le plaisir que j’ai à lire votre roman historique. Nous voudrions entrer dans ce livre pour combattre toutes les injustices que Marie Major subit. Injustices qui à ce jour restent encore trop nombreuses, notamment pour les femmes. Je ne suis qu’à la “mi-temps” de ce livre, Marie Major vit actuellement les pages noires de sa vie mais j’espère que la suite se révèlera moins douloureuse pour elle. Les prochaines lignes de lecture me le feront savoir, et c’est là que réside tout le charme et l’envoûtement de la lecture » - Ghislain Benoit. Paris, France.

« Je suis en train de lire Marie Major et c’est un vrai plaisir doublé d’un enrichissement sur la condition de la femme au temps de Louis XIV. Je connais plus le 19ème siècle mais je vois que cela n’a guère évolué en 200 ans. Merci beaucoup pour ce livre et pour avoir fait revivre votre ancêtre » - Fabienne Guérin. Rodez, France.

« J’ai eu le plaisir de découvrir votre Marie, sa famille, ses amis, les gens indifférents, comme ses ennemis. J’ai été très émue de la voir se transformer au fil des pages. Je lui ai trouvé plusieurs affinités avec sa descendante, Rosalie, (il s’agit de Rosalie Jetté, la fondatrice de la première maternité montréalaise, l’Hospice de Sainte-Pélagie), qui évoluait au-dessus des cancans, courageuse, dans un univers qu’elle voulait empreint d’amour, de compassion, de justice. J’ai été très touchée par tous les bonheurs que vous avez offerts à Marie et qui lui ont permis de passer à travers; l’amour, l’amitié, la maternité, le sens du devoir mais aussi, la musique des trembles, la danse des particules de poussière dans la lumière blanche, les couchers de soleil sur le fleuve, les cailloux ! J’ai aussi beaucoup aimé toutes les notes et les commentaires qui venaient appuyer le texte et les ressources en fin de livre. C’était vraiment un beau cadeau » - Isabelle Coté. Centre Rosalie Cadron-Jetté.

« Votre écriture est sensible et essentielle, car elle expose le contexte de l’événement. Et sur le plan historique, votre roman nous ouvre un large plan de l’époque. De Montréal et Lachine à Batiscan en passant par Québec. Et démontre les difficultés de passer d’un endroit à un autre. Je vous félicite et vous remercie de nous avoir fait partager votre savoir et vos intuitions » - Rolande Bergeron. Montréal.

« J’ai terminé la lecture de votre roman historique et j’en ai apprécié chaque ligne d’autant plus que l’histoire m’a toujours intéressé. Je
lis présentement le tout dernier de Marc Lévy « Le premier jour » et j’avoue que je suis pris dans le rouage de l’incapacité d’arrêter ce voyage à travers les mots tout comme ce fut le cas pour la lecture de votre roman. À quand votre prochain ? » - Pierre-Philippe Landry. Pointe-Lebel.

« Mon épouse et moi avons lu avec grand plaisir votre roman « Marie Major ». Vous avez la plume alerte, l’imagination foisonnante, l’art d’incorporer toutes sortes de connaissances historiques croustillantes dans les péripéties de votre récit. La section proprement historique permettant de faire la part des choses entre le fictif et le documenté est bien appréciée. » - Albert et Françoise Lozier. Ottawa.

« J’ai lu votre livre avec intérêt et passion. Félicitation. » - Eugène Plante

« Vous avez ma reconnaissance pour avoir écrit ce volume historique qui nous fait connaître le quotidien des “petites” gens dont l’histoire parle peu , comme vous le dites si bien. Merci. » - Louise Michaud. Forestville

« Je voulais vous dire à quel point j’ai aimé vous lire. J’ai ressenti une immense tristesse de terminer ces pages qui m’ont transporté dans un autre monde. Comme j’ai l’habitude d’entrer complètement dans le livre que je lis, j’ai pu ressentir la beauté, la désolation, l’espoir, la peur… (…) Dans un autre ordre d’idée, vous écrivez merveilleusement bien. Les mots coulent, on se laisse emporter par les personnages qui finissent par nous hanter. Je veux aussi souligner le fait que je n’ai pas senti de jugement de votre part face à tout ce qui a été fait par ces personnages véritables. Je vous félicite pour cela. Il aurait été facile de tomber dans ce panneau. Tant pour la maîtresse que pour le mari trompé et tous les autres, tout en les présentant aussi avec leurs côtés sombres, on sent que vous tentez de faire ressortir ce qu’il y a de beau dans ces personnes. Donc, pour conclure, je suis contente d’avoir pris connaissance de votre histoire et j’ai beaucoup parlé de votre livre aux gens que je connais. J’espère qu’ils auront le plaisir de vous lire. » - Martine Belzile. Rimouski.

« Comme plusieurs l’ont fait déjà avant moi, je tiens aussi à vous rendre éloges pour ce fabuleux roman historique. Je trouve extraordinaire les détails que vous y avez ajoutés. Je l’ai dévoré en peu de temps. Depuis septembre dernier que j’ai entrepris moi aussi d’écrire l’histoire de mon ancêtre. J’ai plusieurs chapitres d’écrit et y ai fait des découvertes étonnantes. Avec les recherches et lectures que j’ai faites, je vous ai croisé à plusieurs reprises. On ne sent aucun besoin de vérifier les faits que vous y avez assimilés tout au long de cette période historique. Félicitations. » - Louise Chateauvert. Ottawa

« Ce livre historique est très bien écrit et documenté. On se croirait vivre en pleine Nouvelle-France tant l’histoire est bien racontée. Et l’héroïne que dire d’elle une femme de tête, de force et de passion dans un contexte de vie où la femme appartient à son mari. Félicitations » - Monique St-Laurent, membre de Québec Loisirs

« Dès que j’ai aperçu ce titre, j’avais hâte de le lire, d’autant plus que cette femme est mon ancêtre. La lecture de ce roman historique m’a tenue en haleine du début à la fin. Les notes historiques ont comblé ma curiosité. Bravo Madame Desjardins. Merci de nous avoir fait partager vos connaissances historiques ! » - Diane Levesque, membre de Québec Loisirs

« Je vous remercie beaucoup pour tout ce que la lecture de votre roman m’a donné en émotion et en connaissance. » - Amélia Caselli. Rome.

« Simplement merci pour nous avoir partagé votre talent et votre histoire. C’est avec un mélange de bonheur et de tristesse que j’ai lu Marie Major. Le bonheur de l’avoir connue et la tristesse de la perdre à la dernière page. Je suis une fervente lectrice de roman historique et très intéressée par l’histoire du Québec en particulier. Je suis émue face au véçu de votre ancêtre et de toutes les femmes comme elles que l’histoire a mise dans l’ombre jusqu’à maintenant. Votre roman est rempli d’amour, de respect et de compréhension. Tout au long de ma lecture j’ai eu le sentiment d’y être. Vous avez su choisir les mots et le ton pour faire de nous les lecteurs des personnes vibrant au rythme de l’histoire. Comme mère, femme et amie, on partage ses émotions, ses inquiétudes et on arrive même à se sentir réconfortées par ses paroles tendres. En attendant le prochain avec impatience » - Linda Latouche. Napierville

« Comme j’étais présente au Colloque sur les Filles du Roy, je me permets de prendre quelques minutes de votre temps pour vous dire: Continuez à nous faire le cadeau de bons romans historiques. J’ai tellement apprécié la lecture de Marie Major. (…) Je crois que notre monde s’enrichit de ses savants et, croyez-moi vous en êtes, votre savoir ayant autant de valeur et d’utilité que celui des gens qui se spécialisent dans d’autres disciplines. (…) Avec mes copines, nous coordonnons nos achats afin de profiter d’un plus grand nombre de romans historiques. Ils nous apportent de merveilleux moments, de la détente mais aussi nombre de connaissances sur le contexte dans lequel nos ancêtres ont vécu et sur notre histoire. Nous y trouvons même assez fréquemment des nouveaux sujets de recherches. J’haïssais l’histoire, j’y fus apprivoisé par les romans historiques et la généalogie; je ne deviendrai jamais savante mais je sais exprimer toute mon admiration et mon appréciation pour les auteurs qui investissent leur talent, leur temps et leur argent dans la réalisation de leurs projets et qui, comme vous, s’attaquent même à la recherche scientifique afin d’exercer leur passion pour l’écriture avec une profonde rigueur » - Pierrette Brière. Saint-Hyacinthe.

« Ce matin, dès mon réveil j’ai pensé à Marie Major et j’ai lu. J’ai presque terminé. Avec quelle facilité nous entrons dans le roman, c’est si passionnant que je verrais bien une suite. » - Raymonde Riou

« Quel beau roman et quel personnage attachant que cette Marie Major! J’ai passé plusieurs belles heures à lire ce texte vivant et écrit dans un français plus qu’impeccable. J’espère qu’il s’agit du premier roman d’une série… Toutes mes félicitations pour la rigueur de la recherche qui donne une valeur historique à l’histoire qui nous est racontée » - Claude Galaise, Ph.D

« Je suis capté par le récit, séduit, envoûté. Je veux en savoir plus, toujours plus. Impressionnante la somme d’informations nécessaire pour construire un récit de fiction réaliste et historique. Auteure, tu m’épatâtes. Tu ne démérites pas de Zola. Cela dit, je ne serai pas le seul à lier le sort d’Anne à celui très contemporain des femmes violentées, jusqu’à trouver analogues la geôle de Anne et un refuge pour femmes battues. P 117 : les saints vindicatifs; je craque ! Superbe. Trouvaille. Indication, marque irréfutable : la mentalité de l’époque est encore celle du Moyen âge, grand inventeur du culte des saints et de leurs humeurs. Les aventures de Marie Major nous font réaliser ce que nous avons été, ce que nous avons subi et aussi perdu de densité en quelque sorte. Marie a vécu et a réussi sa mort, un très beau et fort moment du récit. Et le héros meurt comme il a vécu au bout du compte. Trois siècles plus tard, on peut dire que Marie Major et tous ses semblables n’ont pas vécu en vain. Encore plus que la réhabilitation sociale, la Mémoire de leurs gestes les constituent en sujets autonomes et signifiants » - Louis Belzile

« Quel plaisir j’ai eu à lire “Marie Major”. Votre style m’a beaucoup plu, j’ai oublié complétement la fiction, tout était vrai et réel. J’ai vécu avec elle les peines et les joies de sa vie. J’ai passé de très bons moments avec Marie et toutes les personnes qui étaient importantes pour elle et chères à son coeur. Au plaisir de vous lire à nouveau » - Louise Lapointe

« Votre livre sur notre ancêtre Marie Major est digne des grands romans français.On savait très peu de cette femme, fille du roi, dont le mari a été tué par un mari trompé. Mais vous avez su lui donner une intelligence, un coeur et grandeur d’âme hors du commun. Je considère maintenant Marie Major comme la pierre d’assise de l’établissement de notre grande famille en terre d’Amérique. Je recommande votre volume à tous les Roy dit Desjardins…et tous ceux qui aimeraient l’être. À quand la suite de ce qui pourrait devenir une saga comme les Rougon-Macquart et les Thibault? » - Rosaire Desjardins, Saint-Pascal de Kamouraska

« J’ai lu avec délectation votre ROMAN Marie Major. J’aurais souhaité qu’il ne finisse jamais tellement il est bien fait. J’ai 55 ans et je sais lire depuis 50 ans. C’est un des plus beaux livres d’histoire de ma vie. Merci à vous pour les heures où j’étais avec Marie. Merci de nous faire découvrir les us et coutumes de cette époque dans notre belle ville » - Céline Pouliot

« J’ai beaucoup aimé lire votre livre sur Marie Major. Pour avoir pas mal lu sur les premiers temps de la colonie, je pense que votre livre reflète drôlement la réalité de cette période. J’ai beaucoup apprécié les précisions historiques à propos des personnages de votre volume. Elles permettent de mieux placer le contexte de l’histoire. Je tiens à vous remercier d’avoir produit ce livre. À mon sens il démontre que vous êtes la digne descendante de Marie. Votre volonté de recherche vous honore, madame » - Gilbert Desrosiers

« Tout à fait par hasard, alors que j’effectuais une recherche sur Internet en vue de mon premier voyage en Normandie, terre de mes ancêtres, j’ai appris l’existence du livre sur Marie Major. L’idée de découvrir l’épouse d’Antoine Roy dit Desjardins m’a immédiatement séduite et j’ai commandé le livre. De retour de France depuis le 12 juillet, je viens de tourner la dernière page… encore sous le charme de cette femme courageuse, évoluée et dotée d’une ouverture d’esprit peu commune à cette époque. Bien qu’il s’agisse d’un roman, j’ai grandement apprécié la rigueur que vous avez mise à relater des situations plausibles, appuyées de faits bien réels et documentés. Non seulement j’ai appris beaucoup sur les débuts de la colonisation mais, en plus, je me suis enrichie de nombreuses références utiles pour approfondir le sujet. En plus de votre temps, vous y avez mis votre coeur et vous méritez mes remerciements les plus sincères » - Francyne Desjardins

« J’ai terminé la lecture de Marie Major et j’ai bien aimé. C’était captivant et les références sur cette époque sont d’une réalité peu commune. Bien sûr que c’est romancé mais je peux très bien imaginer que notre ancêtre aurait pu être ce genre de femme comme tant d’autres soumises à l’autorité très patriarcale des lois religieuses et gouvernementales qui à mon avis frôlaient le sadisme envers les femmes. J’ai beaucoup lu sur les débuts de la Nouvelle France car c’est un sujet qui me passionne. Félicitation pour ton magnifique livre et j’espère que tu en écriras d’autres aussi palpitants » - Hélène Gagnon, Montréal

« C’est un très bon roman historique. On s’imagine facilement l’endroit et l’époque où se déroulaient ces événements » - Ken Roy, Texas

« J’ai terminé la lecture de votre livre, il y a déjà quelques semaines et j’ai profondément aimé. Je me suis attachée à votre ancêtre et j’ai eu du mal à la laisser partir à la toute fin. Je suis bouleversée devant la justesse des situations faites aux femmes, je suis aussi bouleversée par le fait que vous ne jugez pas vos personnages… Ils vivent devant nous avec leurs qualités et leurs défauts, avec leurs misères..seuls le système et la dureté de l’époque sont à juger….. J’adore votre façon d’écrire, votre objectivité, votre sens de l’humour, votre sensibilité… On sent l’amour de vos ancêtres à travers chacune de vos pages, chacun de vos mots. Et dans l’époque que vous décrivez chaque québécois de souche peut imaginer comment ses ancêtres ont vécu » - Françoise Morin

« J’ai pris beaucoup de plaisir à lire votre livre. Je sais qu’il n’est point aisé d’imaginer et de mettre en oeuvre un récit aussi varié que le vôtre, avec tant de personnages qui se croisent. Votre texte est agréable, les phrases étant fluides d’un bout à l’autre du livre. Le nombre très peu élevé de mots typiquement canadiens met votre ouvrage à la portée de tous les francophones, par-delà les frontières océanes. De plus, j’apprécie que la narration ne soit pas nécessairement chronologique, puisque vous commencez par l’emprisonnement de Marie Major à Paris, pour continuer par l’assassinat d’Antoine Roy et au jugement de Julien Talua, pour revenir ensuite au mariage d’Antoine Roy et de Marie Major, avant de poursuivre le jugement. Bref, vous avez bien fait de concevoir un récit qui ne soit point linéaire. Pour ce qui est à présent de l’impression d’ensemble que laisse votre roman à un lecteur comme moi, peu versé en littérature et plutôt porté sur l’histoire des familles, je crois que vous avez bien réussi à enrober de chair humaine tous les personnages squelettiques rencontrés au hasard des documents d’archives. À mon sens, vous êtes parvenue à bien intégrer dans le récit les nombreux éléments fournis par tous ces documents et par les livres et articles que vous avez consultés. Il résulte de toute cette alchimie un livre agréable à lire, reposant sur un socle historique solide » - Pierre Le Clercq, Aubervilliers (France)

« Je viens de terminer la lecture de votre livre que j’ai trouvé fort intéressant, la description que vous faites de la vie en cette fin de 17e siècle est étonnante. Jamais dans nos cours d’histoire et dans le savoir collectif ne parlons-nous du sort réservé aux femmes de cette époque et du fait que l’esclavage était plus commun que l’on oserait avouer. Marie Major fut certainement une femme courageuse «qui ne l’a pas eu facile» comme on dit souvent. Votre roman nous fait comprendre l’emprise que certaines personnes, bien nées, ont eu sur notre peuple et surtout notre chère Église Catholique qui ne perdra son pouvoir qu’avec la révolution tranquille. Il n’y a pas si longtemps que le fait pour une femme d’être enceinte hors du mariage était considéré comme honteux. Merci d’avoir décrit la vie de notre ancêtre commun dans un roman qui m’a fait vivre à cette époque et qui a répondu aux questions que je me posais sur certains faits que je connaissais de la vie d’Antoine et Marie. Vous devriez être fière de votre oeuvre qui a dû vous demander beaucoup d’heures de recherche et une imagination fertile, c’est une belle histoire que vous nous avez donnée. Bravo! » - Jean-Pierre Roy ‘dit Desjardins’. Lasalle, QC originalement Price près de Mont-Joli

« J’ai lu votre roman, Marie Major, avec beaucoup de plaisir. D’autant plus que je suis un descendant de Marie et d’Antoine. J’ai beaucoup appris en vous lisant. Je souhaite qu’il soit lu par beaucoup de gens. Pour ma part, j’en parle à tous autour de moi et à ma famille » - Norman Roy, é.a.

« Chère Sergine. Permettez-moi de vous appeler par votre prénom car suite à la lecture de votre magnifique roman historique Marie Major, je me sens proche de vous, tant par le cœur que par le sang, étant une Roy, descendante de Marie et Antoine. Votre roman m’a touchée par la description soigneuse que vous y faites des épreuves des gens de l’époque, tant matérielles que spirituelles, la fermeture d’esprit et, parfois, la dureté de cœur du clergé pesant de tout leur poids sur leur quotidien déjà plein d’embûches. Ce qui m’a le plus rejointe, c’est votre volonté de non jugement qui, avec compassion, vient clore la vie des personnages de façon à ce que chacun d’eux soit excusé – par compréhension – des comportements peu édifiants ou des attitudes plus sombres qu’il aurait pu avoir dans son parcours. (…) Nous laissant, par l’imagination, transporter au-dessus de cette histoire bien circonscrite dans le temps et l’espace qu’est celle de Marie Major et de ses contemporains, nous pouvons en arriver, je crois, à cette attitude d’ouverture, à ce sentiment d’universalité qui nous amène à croire que chacun des êtres humains que nous sommes et que nous aurons été, constitue un apport indispensable à l’avancement du Monde. Merci beaucoup d’y contribuer de façon si personnelle et généreuse » - Diane Roy

« Quelle aventure que celle de Marie Major! Pour moi, férue de romans historiques, c’est un pur délice. Le courage et la détermination de cette femme face à son destin tragique m’ont fortement impressionnée. Sous une plume fine, fluide comme un fleuve tranquille, on sent la passion et la fougue d’une auteure éprise de vérité et de justice pour toutes et pour tous au-delà des peuples et des époques. Une histoire touchante supportée par une recherche généalogique rigoureuse et généreuse. Je me plais malgré tout à imaginer Marie mourir dans les bras de son grand amour! Je sème des livres un peu partout dans la maison mais la bibliothèque de “mon côté” de chambre renferme mes lectures préférées, Marie Major y sera. Merci de cette belle découverte » - Diane Rioux

« Je suis réellement fasciné par le réalisme du climat que vous avez réussi à recréer dans ce livre que j’ai dévoré à petites doses chaque soir depuis que je l’ai entre les mains. J’ai l’impression d’apprendre à connaître des parents lointains mais rendus tout près par l’intimité de leur vécu qui nous est révélé page après page. J’y trouve une fierté d’être apparenté, même de loin, à ces personnes non conformistes, non superficielles, entières, et si «vivantes». Merci sincère de nous faire partager de si belle façon le résultat de vos années de recherches; il faut être un «cordon bleu», un artiste du roman pour réussir à unifier une multitude de sources d’informations disparates, comme ont dû l’être les documents découverts, et en mijoter un plat aussi savoureux. Je ne peux que vous en féliciter, et je suis convaincu que ce ne peut être que le résultat d’une longue recherche passionnée et, je crois, «guidée» de l’intérieur par ceux-mêmes dont il est question. Et je suis sûr que c’est une passion comme celle que j’ai ressentie lorsque j’ai travaillé à la rédaction et à la production de Nelligan à Cacouna qui a guidé votre travail, qui vous a motivée pour la création et la réalisation de votre magnifique roman, qui est, d’ailleurs, beaucoup plus qu’un roman. Jusqu’à la dernière ligne, la qualité ne se dément pas. C’est comme du bon café, ou un bon vin. Félicitations et merci encore d’avoir mis en mots et en sensations le fruit de tant d’heures, de mois et d’années de recherche et de passion, sur nos ancêtres communs » - Yvan Roy. Cacouna. Mars 2007.

« Je termine la lecture de votre roman historique Marie Major, lecture partagée à haute voix avec ma conjointe Marie Mayrand. Natif de Trois-Pistoles et descendant d’Antoine Roy-Desjardins, j’avais été blessé par « la lamentable histoire » de cet ancêtre mise en lumière par le père Georges Desjardins. J’avais beau savoir qu’Alphonse Desjardins, un descendant d’Antoine, avait fondé les Caisses Desjardins devenues aujourd’hui un empire financier, que mes arrière-arrière grands-pères, Isaac et Benjamin Roy-Desjardins, deux frères, avaient fondé Saint-Fabien de Rimouski, ou encore que le folkloriste de talent Raoul Roy était un cousin de mon père, j’avais ressenti une honte inexplicable en prenant connaissance de la vie D’Antoine et des circonstances de sa mort, une gêne, un vague sentiment de culpabilité difficilement explicable après tant d’années…! Votre passionnant et merveilleux roman historique sur la vie de l’épouse méconnue d’Antoine est venu jeter un baume sur ces sentiments diffus (…) Pour l’heure, je ressens à l’égard de Marie Major, notre héroïne du temps jadis, de la compassion et un véritable amour, je ne voulais pas que le roman s’achève, hélas… mais c’est tout à votre honneur d’avoir réussi à la rendre aussi attachante et vivante ! Avec toute ma gratitude et celle de ma conjointe » - Yvonnick Roy

« J’ai acheté votre volume lors de la conférence que vous avez donnée à la Société de généalogie de Rimouski. J’en ai commencé la lecture une dizaine de jours plus tard. Le premier soir, j’ai lu 50 pages et je me suis arrêté tellement j’aimais ça! Bizarre n’est-ce pas? Pourquoi arrêter quand le livre est bon? Quand j’adore un livre, j’évite de le lire d’un seul trait (car je l’ai déjà fait). Il faut garder le désir. Donc, j’ai pris neuf jours pour le lire et j’ai adoré votre livre. Bravo pour tout le plaisir que vous m’avez donné et merci pour tout le travail de recherche et d’écriture. Si vous en avez un autre livre en gestation, il me fera plaisir de le lire » - Laurent Bérubé. Rimouski

« Le propos essentiel de ce courriel est pour te dire combien j’ai aimé ton livre. Je l’ai dévoré en deux jours. Même les notes historiques m’ont tenue en haleine, c’est te dire! Cette lecture m’a appris beaucoup de choses sur notre passé pas si lointain. Disons que nous n’avons rien à envier aux intégristes de tout acabit. Ton style est coulant et riche. J’en ai oublié que je lisais ; c’était comme un film dans ma tête… J’admire ta rigueur historique et l’heureux mariage de fiction et de réalité. Même les personnages les plus antipathiques deviennent attachants quand on réalise à quel point le clergé et les nobliaux abusaient d’eux. Lesquels, pour leur défense, ne connaissaient pas mieux. À quand le prochain livre ? » - Geneviève Porter, auteure. Kamouraska. Mai 2007

« Je vous félicite pour la rédaction du roman Marie Major. À travers votre texte, j’ai souvent eu en exemple (sous forme d’images) les procès que je déchiffre dans le fonds de la Prévôté de Québec. Vous avez bien décrit ce qui peut se passer dans la tête d’une personne qui passe devant le juge et autres officiers de justice. Aussi, j’ai grandement apprécié en annexe les précisions que vous apportez permettant de distinguer les faits de l’imaginaire. J’espère que votre livre saura influencer d’autres chercheurs à en faire autant avec les épouses de nos ancêtres, trop effacées des documents d’archives. Félicitations encore » - Guy Perron, paléographe et auteur

« Je suis une enseignante semi-retraitée qui, presqu’à mon insu, est devenue une passionnée de la généalogie. Évidemment, tout ce qui touche la vie des premiers arrivés au pays m’attire irrésistiblement. C’est ainsi que je me suis emparée du livre que vous avez merveilleusement écrit sur votre ancêtre Marie Major. Un véréritable chef d’oeuvre digne d’être porté à l’écran! Je ne pouvais plus le lâcher et tant pis, le ménage a attendu! Votre récit m’a donné le goût de fouiller sur internet, merveilleuse ressource, et j’ai constaté le travail de moine que vous avez réalisé pour être en mesure de rendre votre récit le plus authentique possible. J’ai surtout tellement appris sur les moeurs et les croyances de cette époque. Je vous en suis très reconnaissante et je vais parler de votre livre avec toute la passion qu’il mérite. J’ai été très touchée par chaque page de votre oeuvre et je vous en félicite de tout mon coeur » - Céline Baril. Granby.

« Je suis en train de lire votre livre Marie Major ! Votre livre est magnifique !!! Merci! Je dois dire que j’ai besoin de mon dictionaire Anglais/Francais pour le lire. Ma mère a, elle aussi, beaucoup aimé votre livre et je pense que beaucoup de mes tantes et mes oncles vont le lire aussi. Merci beaucoup ! » - Kim Carter. Sault Ste-Marie, Ontario.

« Je suis, comme vous, une descendante d’Antoine Roy dit Desjardins. J’ai une formation d’historienne, je connais assez bien la Nouvelle-France et je voulais simplement vous dire que j’ai beaucoup aimé votre roman. Bien documenté, il va au-delà du rationnel, ce qui n’est pas toujours le cas des romans historiques »

  • Monique Roy. Montréal.

« Je vous écris pour vous dire combien j’ai aimé votre livre. J’ai aimé toutes ces références historiques que vous avez mises tout au long de l’histoire. J’ai souris en lisant certaines phrases relativement à ce que la religion faisait croire pour garder le pouvoir mais j’ai aussi pleuré à la mort de Platon et encore plus à celle de Marie Major. BRAVO, vous avez su me captiver tout au long des 485 pages. J’ai beaucoup aimé votre façon d’écrire. J’espère avoir le bonheur de vous lire encore. Avez-vous écrit d’autres livres depuis Marie Major ? » - Brigitte Côté. Québec.

« J’ai eu le plaisir de vous rencontrer au Salon du Livre de Rimouski l’automne dernier. Depuis, j’ai enfin lu l’histoire de Marie Major, notre ancêtre. J’ai adoré cette lecture, elle m’a passionnée et étonnée. J’aime votre style d’écriture, pas de longueurs, pas de temps morts, et la documentation que vous apportez sur cette époque est très intéressante. Comme on nous a mal appris l’histoire ! (J’ai entendu à Radio-canada qu’un esclave noir valait trois esclaves indiens, que Mgr. de Laval et Marguerite d’Youville en possédaient, on ne nous a jamais dit cela). J’ai apprécié que vous donniez à Marie Major un amoureux indien, je m’intéresse depuis longtemps à la philosophie de ce peuple, à leurs croyances…bien avant la mode. J’aimerais vous inviter à visiter un site consacré à mon arrière grand-père: Charles Alfred Desjardins. Vous le connaissez peut-être. C’est le cousin d’Alphonse Desjardins C’est drôle, on y fait parler mon père, Armand Martin qui était son homme de confiance, et ma mère Ida qu’il aimait beaucoup » - Réjane Martin, Rivière-du-Loup, née à St-André de Kamouraska.

« Nous nous sommes rencontrés à la bibliothèque de Mont-Joli lors de votre conférence il y a quelques semaines. Je suis triste Sergine. Triste parce que j’ai terminé “Marie Major”. Ce livre que je trouvais trop lourd de trop de pages est devenu rapidement trop mince. J’ai beaucoup aimé ce roman Sergine. Merci de prendre le temps d’écrire de si belles choses. Ma surprise fut grande lorsqu’à la fin du livre, vous m’apprenez que le parrain de votre ancêtre a un lien avec ma famille. L’ancêtre de ma mère est Pierre Michaud. Le monde est petit.De lire votre roman et de vous rencontrer, furent des moments très agréables. Vivement votre prochain livre » - Jacques Soucy. Mont-Joli.

« Ce livre m’a beaucoup passionné. Il me semble que je vivais les moments difficiles de mes ancêtres Chapdeleine dits Larivière lors de leur arrivée au Canada au 17e siècle. Je l’ai prêté maintes fois à ma soeur, à mes filles, à mes nièces, à mes amies. Il est à espérer que de nouveaux lecteurs et de nouvelles lectrices jouiront de votre roman. Je me propose d’autres heures agréables à lire vos autres romans » - Denise St-Jean.

« Bonjour. J’habite en France et aujourd’hui, j’ai raté mon train. Devant patienter une heure, je me suis dirigée vers la boîte à livres qui était pleine et, allez savoir pourquoi, j’ai choisi Marie Major. Je ne suis pas une grande lectrice, mais j’ai déjà lu 3 chapitres et j’adore. Je vous découvre et suis ravie d’avoir raté ce train. » Quelques jours plus tard : « Bonjour Sergiene. J’espère que vous allez bien. J’ai terminé la lecture de votre livre et j’en suis triste. J’ai vraiment beaucoup aimé. J’aime les romans historiques et vous m’avez appris beaucoup de choses. En France, aucun cours d’histoire (jusqu’au baccalauréat) n’aborde la colonisation en Amérique (…) Votre roman m’a vraiment touchée par bien des aspects et je vous en remercie. Merci aussi de m’avoir répondu, c’était la première fois que j’écrivais à une romancière. J’en ai été flattée. Je ne devrais pas tarder à lire une autre de vos œuvres. Bonne continuation. » Régine Sivy.

« Une excellente auteure et de plus avec le même ancêtre que moi : Antoine Roy. Son excellent roman Marie Major m’a touchée jusqu’au cœur. » Diane St-Laurent. Rimouski. Sur ma page Facebook, 28 juillet 2017.

« J’ai adoré cette lecture très spéciale de lire quelque chose de vrai et si cruel que j’en ai la chair de poule. En plus, je connais pratiquement tous les endroits nommés. J’ai même habité dans certaines villes citées dans le roman. C’est tellement bien écrit et décrit. L’annexe à la fin fut très appréciée. Merci beaucoup Sergine Desjardins de m’avoir fait vivre ce roman si intense. J’ai vraiment adoré Marie Major. Tout le monde doit lire ce roman. » Lise Ouellet, sur sa page Facebook, 4 septembre 2017.

« Bravo ! J’ai lu la 1e version. Magnifique ! Je viens de finir la lecture de votre dernier-né : Un souvenir, mille remords. Merci beaucoup pour toutes ces pages sur la guerre mais surtout sur l’amitié, l’entraide, la bonté, l’art et la résilience. À chaque roman, j’ai hâte de continuer à lire ! Je suis une vraie fan !!! Merci de nous permettre de vivre de si bons moments !!! » Diane Milette. Commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major. !

« Je suis justement en train de le lire, et j’adore cette histoire. Un vrai voyage dans le temps.» Madeleine Tanguay. Commentaire sur ma page Facebook du 22 juin 2022 dans laquelle j’annonçais la publication de l’édition spéciale 15e anniversaire de Marie Major.

« Je suis fan de votre écriture. Marie Major, j’ai adoré. Tous les autres également.» Madone Langlois.

« Je viens de terminer Marie Major. J’ai adoré, mais j’en suis sortie choquée de voir comment les femmes étaient traitées, des moins que rien, des objets. On a fait un bon chemin depuis ce temps, mais il en reste encore malheureusement. » Hélène Houle.

« Bonjour, je viens de terminer votre roman Marie Major, j’ai beaucoup aimer cette leçon d’histoire du Québec. j’aime votre écriture aussi… je vais m’empresser de suggérer ce livre à ma soeur qui aime la généalogie et ce qui est écrit sur les Filles du Roy… je dois maintenant faire mon deuil de ce roman, et partir à la recherche d’un écrit qui va autant me captiver… j’ai aussi sur ma liste “à lire” Un souvenir, mille remords… je vous ferai part de mes commentaires. Bonne fin de journée. » Cécile Fortier.